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AU SECOURS

Copie humaine de Barbie
Les médias trébuchent. l’Alzheimer médiatique guette. Cette maladie dégénérative, lourde de conséquences tant pour les lecteurs de journaux, de revues, que des auditeurs de radios ou des téléspectateurs normalement constitués et en pleine possession de leur capacité intellectuelle. Les responsables de ce business de l'image et de l’écrit, persuadé d’être investi d'une mission de salubrité public, se sentent obligés de répéter jusqu'à l’écœurement les médiocres nouvelles qu'ils font tourner en boucle durant des jours sur toutes les chaînes, obligeant les abonnés à zapper tous azimuts. Il est vrai que sans cette bouillie indigeste, la plupart des programmes audio, les images du petit écran ou les textes de journaux, quelles que soient leurs obédiences, n'auraient que peu d'intérêt. Tout se survole sans conviction. Les explications sont le plus souvent minimalistes et bâclées. Seul compte le buzz sinon les tintements du tiroir-caisse. L'importance financière qui permet de rentabiliser ce business se mesure à travers l'intensité des catastrophes ou l'hypocrisie vertueuse. Le méga théâtre où les faux combats pour une décence assumée fleurissent avec gourmandise et assurent de confortables revenus au monde des médias. C'est un nouveau jeu où chacun y va de sa petite histoire. D'un côté les offensées, de l'autre les petites jupes « raz du cul » avec seins débordant des soutiens-gorge, pour le plus grand plaisir de ceux qui n'en demandent pas tant.


Contrastes
Rien de plus naturel, de légitime et compréhensible pour ces vierges effarouchées que d'exiger du respect et de la décence dans leurs rapports avec l'homme pour autant, bien entendu, qu'elles soient capables d'exiger la réciprocité pour elles-mêmes. La plante n'est pas condamnable de fleurir pour s'attirer les faveurs de l'abeille. C'est dans la nature des choses. La femme, à moins de virer masculin, est par naissance courtisane. Son besoin de plaire et de s'embellir pour susciter intérêt et envie est atavique. A part le viol, action hautement condamnable, la fausse vertu outragée et la stratégie à vouloir incriminer la moitié de la planète pour harcèlement sexuel confinent au grotesque et se déclinent dans tous les formats de la débilité. Cette nouvelle intrusion dans la vie sociétale est une aberration dont la femme sera la première à souffrir. 


L’être humain, de plus en plus domestiqué et submergé de diktats de tous ordres aura bientôt son enclos d'où il pourra observer à loisir sa dégénérescence, tout en continuant à jouer avec ses petites vidéos en obéissant aux injonctions de ses geôliers. Des centaines de milliers de personnes ont tout perdu lors des guerres fratricides du Moyen-Orient et vivent comme des animaux dans les ruines abandonnées par des combattants de toute allégeance. Combattants au service de quelques cyniques et sinistres profiteurs de la misère humaine, qui est à la finance ce que les Djihadistes sont au terrorisme. Des sans scrupules qui mettent le monde à sac. La gravité de la situation ne semble pas intéresser grand monde, puisque l'on préfère mettre au premier plan l'horreur du harcèlement sexuel sous forme de minauderies de nanas en mal de reconnaissance. Observer, écouter, constater et nous nous apercevons, sans faire d'efforts, que le comportement du petit monde féminin  laisse également à désirer. Il est toutefois plus facile de critiquer autrui que de se remettre en cause. Le harcèlement sexuel, à proprement parler, n'est qu'une question d'attitude. 


Il y a celles qui aguichent inconsciemment et les autres. Les exemples sont légions. Les médias ont bien compris que c'était là une aubaine, un don du ciel qui permettrait de faire le buzz durant des semaines pour satisfaire le nombre croissant de cerveaux fatigués. Le goujat existe. Cet animal en rut permanent a toujours existé et existera toujours. Le mâle bien éduqué et son alter ego au comportement d'étalon de foire, sont en fait les deux faces d'une même médaille. D'une part des mentalités maîtrisées, avec en face, des esprits frustes à la cervelle délavée. Ces contrariés de la vie, jouisseurs de l'éphémère se manifestent dans tous les domaines. La femme se construit sur le même terreaux et tripote allègrement et avec volupté, les mêmes interdits. Il n'y a rien de neuf sous le soleil.




N.B. Il est surprenant de constater que tous ceux qui ont la main tardent la, plupart de temps, à prendre en compte les multiples problèmes qui se présentent à la société. Serait-ce de l'indifférence à l'égard des populations, de la peur envers les tenants du capital qui font ou défont des carrières ?. Serait-ce à cause d'une incapacité à trouver les solutions quant à la complexité des enjeux ?. Nous savons qu'il est aussi difficile de trouver un homme « d’État » capable de gouverner en faveur de ses administrés, que de découvrir un diamant dans un cornichon. Les préposés à la gouvernance sont plus habiles dans l'exercice du croche-pied que dans la recherche d'un compromis pour d'adoucir les tourments du contribuable. Il faut également savoir qu'une majeure partie de la population ne sait pas ce qu'elle veut. C'est souvent tout, tout de suite, laissant la part des sacrifices aux autres. C'est une donnée qui apporte de l'eau au moulin des médias. Le fait d'exploiter l'impatience populaire dans le dessein de ferrailler avec le pouvoir est une aubaine supplémentaire. Provoquer des contradictions et faire le buzz à tout prix, quitte à scier la branche sur laquelle ils sont assis. 

C'est aussi un bon moyen de se faire détester, un art dans lequel les journalistes excellent. La profession est indubitablement en perte de vitesse et devrait idéalement se remplacer par des robots. Ce serait moins coûteux tout en restant aussi subjectif que l'homme, puisque alimenté par ce dernier. Le robot pourrait subir un formatage et apprendre à ne plus interrompre ou couper la parole aux invités et ne succomberait plus à l'usage, toujours très fréquent, de se mettre en scène au détriment de l'interviewé.


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