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GOUVERNER EN 2017

Gouverner autrement, réformer, déminer les chemins de la corruption, tout le monde en parle, souvent à tort et à travers. Cette corruption ne résiste toutefois pas à l'appétence du pouvoir, celui qui se cueille au petit matin, comme la rosée des ambitions. Mais, média aidant, en usant et abusant de slogans éculés tels que : « nous ferons mieux que ceux qui nous ont précédés » ou « C'est la faute aux autres » crève les tympans à force de tourner en boucle sur les ondes. La liste des responsables est longue et ce sont toujours les autres qui en sont comptables. Cela n'est que langage d’incompétents, de zombies à l'imagination en friche et de marchands de mots qui partent en vrille. Il y a les vindicatifs, les séditieux et les va-t-en guerre qui ne  cessent de s'imposer par l'injure, la mauvaise foi et la critique. A entendre un « Melenchon » bloc d’orgueil ambulant, révolutionnaire et adulateur des Maduro, des Castro et consorts, adepte inconditionnel du « Y-à-qu'à »  la république serait sauvé et le bonheur assuré pour mille ans. Ce ne sont là qu'aboyeurs professionnels, au service d'une petite coterie de factieux en mal d'image. Ces individus sont incapables de construire leur existence ailleurs que dans l'invective et la rancœur. Manipulateurs par vocation et sangsues avisés de la chose publique, ils cherchent moins  à séduire ceux à qui ils s'adressent, que de se convaincre eux-mêmes du bien fondé de leurs propres arguments.  


En fait ce sont des gens de maigre envergure desservant l'état qu'un certain nombre d'édiles ont piétinés durant plus de quarante ans. La population, assommée par la grisaille de la pensée politique et un laisser aller généralisé, est devenue indifférente à sa propre histoire. C'est un pays qui ne rêve plus faute d’intérêt, anesthésié par une dialectique stérilisée et par manque de projets d'ampleur. Durant des décennies la classe politique n'a cessé de se regarder le nombril, dansant au son de la corruption en oubliant une population en quête d'espoir. Les gouvernants de cette époque ont laissés pourrir la situation. Durant des années la république fut critique envers son entourage, de ses adversaires ou du monde avec entrain sans ne jamais se remettre en question. La société à bout de patience, écœurée par la lâcheté, les promesses non tenues a opté avec circonspection pour le renouveau en élisant « E.Macron » qui, en l'espace d'un an, a réussi l'improbable. Personne ne l'a vu arriver. L’Opposition droite et gauche confondus, a  volé en éclat.


Aujourd'hui, la gauche ruinée, la droite exsangue,  sont en plein désarroi. Ils n'ont par contre toujours pas compris les raisons de leur échec, car ce petit monde au souffle court a toujours la véhémence chevillée au corps et le mépris facile. Ces  boute feu à la dent dure ont mis un couvercle sur leurs échecs et découvrent, oh miracle, ce qu'il faudrait entreprendre pour sauver le pays. A croire que l’échec porte conseil !

Une grande partie de la population est déboussolée, fatiguée, sans illusions, et en perte de repaires. Elle a perdu l'estime pour ses dirigeants. Malmenée par des autocrates aux bras cassés les électeurs peinent à retrouver leur dignité et fustigent par conséquence, la clique des responsables. Rarement informée, sinon à posteriori et la plupart du temps placée avec condescendance devant le fait accompli. Il n'est, dès lors, pas étonnant que l'électeur se rebiffe. La classe politique tend à traiter ses électeurs comme elle traitait naguère l'indigène des colonies, usant d'un paternalisme mi-protecteur, mi-dédaigneux saupoudré d'un léger mépris. L'image que ces irrespectueux et fausse élite politique donnait d'elle-même fut désastreuse et allait à l'encontre des intérêts de la république et de ses citoyens. La parole politique dévalorisée est à l'origine d'un pessimisme généralisé. Rattraper le temps perdu, regagner la confiance de ses concitoyens ne sera pas aisé tant est grande sa méfiance envers les gouvernants quels qu'ils soient. Le Président Macron n'aura pas la tâche facile. Coincé entre une population impatiente en attente de résultats  et la réalisation des promesses électorales, il lui est impossible d'effacer trente ans d'impérities en quelques mois. Qui plus est, des adversaires perclus d'aigreur, mauvais perdants ne cherchent qu'à verser de l'huile sur le feu d'une contestation habilement mis en scène. Leur but est de s'opposer à tout par tous les moyens pour faire échouer les tentatives de redressement. 

Quant l'esprit mauvais du débile contrarié souffle sur l'ignorance d'une population en souffrance tout est à craindre. L'orgueil mal placé, l'ambition démesurée et la soif de pouvoir personnel rend l'individu immature souvent dangereux pour la société, comme pour lui-même. Les exemples foisonnent et méritent toute attention.

PAR PITIE

Par pitié...qu'ils disparaissent ! Qu'on ne les entendent plus. C'est l'overdose et une atteinte à l'intelligence que de subir les élucubrations de ces histrions de bazar qui se prennent pour des politiques. Ces grotesques du verbe, la mauvaise foi chevillée au corps, rassis de rancœurs, se perdent dans l'autosatisfaction. Ils reprochent aux nouveaux arrivants ce qu'ils ont été incapables de réaliser lorsqu'ils furent au pouvoir. Leur comportement méprisable est une insulte au peuple et relève d'une totale irresponsabilité. Ils arborent critiques et adjurations comme des trophées à la gloire de leurs ego démesurés, empoisonnent l'air par des formules et concepts creux dans l'unique espoir de reconquérir du pouvoir. Des « has been », des petits bras s’agrippant à l'insulte comme une teigne sur une peau de vache. Toujours prêts au sabotage, au déni et la tromperie.


L'algarade facile, ces décadents de la politique et girouettes de l'absurde n'ont pas besoin de vent pour se placer gagnant dans la course aux ambitions.Tout est bon à prendre...tout fait ventre. Ils sont la honte du pays. 

Les scabreux de la fonction publique, souteneurs à l'abri d'un système à bout de souffle, quémandeurs, la main rapine tendue telle une sébile vers les biens de la république, portent haut la soif de portefeuilles ministériels et des prérogatives y inhérent. Ils sont en capacité d'échafauder les  pires  vilenies pour parvenir à leur fin. Cette coterie d'aigris, totalement dépourvu du sens moral qu'ils exigent d'autrui à longueur de mandat, vivent dans un monde parallèle et pratiquent à grande échelle l'extorsion de fonds. Un exemple éclairant quant à la pratique politique des copains et des coquins. Aucune conscience politique mais l'ardent désir d'en être, d'être à la place de ceux qui gouvernent, de disposer de sa limousine de service et de ses gardes du corps. Être considéré par le petit peuple et avoir son rond de serviette dans les meilleurs établissements. Tout cela pour masquer le vide sidéral de la pensée dite politique. Ceux qui ont vraiment quelque chose à dire sont interdits de parole ou trop bien éduqués pour assurer des spectacles de déshonneur. Beaucoup de pays vont mal à cause d'une poignée de dirigeants arque boutés sur le désir de puissance et de richesse. Peu importe que le peuple n'y trouve son compte. L'important c'est de paraître, d'étaler sa morgue, de faire fortune  et de se croire éternel.

Ces forts en gueule à la science infuse, ceux qui savent tout lorsqu'ils sont dans l’opposition se font larves rampantes arrivés au pouvoir. Jamais responsables! Toujours prêts à égorger leurs concurrents potentiels en  utilisant la médisance et la calomnie comme arme de destruction massive. Lâcheté et concussion voilà les  deux mamelles d'une bonne gouvernance. Une vraie discipline permettant de durer et de faire fructifier son pouvoir. Les pauvres guignols de la politique, pions consensuels sur les plateaux de la manipulation sont à la merci du potentat en chef. Ils se doivent rassurants et apaisants, à l'image de la main d'un ministre sur le cul d'un ruminant. Cela ne coûte pas cher et met le politique à hauteur de sa victime. 


Pendant que la planète se délite les responsables regardent ailleurs, trop occupés à se faire du bien sur le dos du malheur. Rares sont ceux qui vivent les yeux ouverts, l'esprit réceptif avec la distance et la hauteur nécessaire qui permettrait de concevoir les situations dans leur globalité. Quatre-vingt quinze pour-cent de l'humanité vit dans ce qui fut et s'accrochent avec désespoir à ce qu'ils croient être immuable. Personne ne les mets en garde sur le sort que l'homme réserve à l'homme. (Voir le livre de Yuval Noah Harari : Homo Deo ou How data will destroy Human freedom) Quant aux édiles, absorbés par des luttes d'influence et petites révolutions de palais, ils n'ont plus le temps de s'interroger sur les besoins ou les peurs de leurs administrés. 
Ce sont, comme d'habitude, les plus valeureux qui paient pour une poignée de malfrats de la politique. 


Et comme toujours l'intelligence, quand elle se manifeste au sommet est combattue avec la dernière des énergies par la politicaillerie en mal de reconnaissance. Comme le formulait si bien M.Einstein : « Il n'existe que deux choses infinies. L'Univers et la bêtise...mais pour l'univers je n'ai pas de certitude absolue ». Le sort de la planète serait-elle scellée ? Les foules, sensibles au verbe, se déplacent derechef au sondu clairon. Les imbéciles aux voix de stentor ont réussis à maquiller la vérité, à créer un doute dans l'esprit des harangués de la court des miracles. Ces élites du non sens font ce qu'ils savent faire de mieux...détruire ce que les autres construisent, dans le seul but d'exister.



Jalousie, égoïsme et mensonges sont des bombes à retardement qui finiront, tôt ou tard, par nous éclater à la figure...


CONTRE

Paroles d'Homme
Quelles que soient les positions adoptées. Celles de prendre position pour ou contre,  d'être d'accord ou pas, d'être ouvert au dialogue ou non, le dénigreur professionnel tapis dans l'ombre se fait un grand honneur de dynamiter arguments et réflexions. Le but assumé est d'être dans la négation. D'être opposé à ce qui se dit, se pense, se formule ou s'exprime. Il croit détenir le savoir et se sent le dépositaire d'une vérité suprême. Il est souvent aigri, envieux, mal assuré et en conflit permanent avec lui même, souffrant la plupart du temps d'une image dévalorisée. Il a systématiquement recours au bulldozer pour détruire ce qui lui échappe. Il est partout ! Avec une tendance de se perdre dans l'anonymat des foules ou de s’intégrer dans des partis politiques, toujours prêts à bondir. Il cultive le culte du « NON » et refuse souvent le dialogue pour mieux masquer son ignorance et ses  incompétences. 


Il fuit les échanges qui soulèvent apparemment trop de complications par rapport aux dogmes, plutôt simplistes, dans lesquels il s'inscrit. Sa plus grande satisfaction, c'est de voir le malheur s'abattre sur les plus vulnérables. Aussi l'infortune de ses semblables fait-elle partie de son carburant quotidien. Sans passeport ou carte d'identité, il sévit au delà des frontières avec comme seul viatique le désir jouissif d'imprimer sa volupté hargneuse là ou il se trouve.

En politique ou en économie la devise du dénigreur prospère sur le rejet. Peu importe le type de sujet dont il est question. Ce qui importe c'est lever le poing et désapprouver. Il est très courageux dans l'anonymat et un délateur zélé par ambition. Par ailleurs son instinct de survie est remarquable. Il lui permet de changer d'opinion aux moments opportuns afin de redynamiser ses objectifs si nécessaire. Son ennemi c'est l'autre, l'incapable, sans se douter qu'en attaquant l'autre, il s'attaque  lui-même. Fuyant la solitude il a besoin d'un clan qui le mette en valeur. Grande gueule quand il trouve un public. Introverti la plupart du temps. Ni trop  dans la lumière, ni trop dans l'ombre. Il ambitionne néanmoins de peser sur un certain électorat et cherchera à s'entourer de quelques disciples qui lui serviront de porte voix.  En occident, l'influence d'un tel agité se limite aux joutes oratoires. 

Ailleurs cela susciterait des dictatures sanguinaires, conduirait aux massacres et à la corruption généralisée. Une situation que le bobo bien pensant au regard voilé citerait en exemple. Il en parlerait comme l’avènement d'une révolution populaire. Et personne ne bougerait un petit doigt !* Ce type de velléité existe et progresse aussi sur notre continent. Il n'y a qu'à entendre l'autocrate Melenchon vanter les mérites et réussites des dictatures du style Hugo Chàvez et consorts. Ils mettent leur pays à feu et à sang. Les socialistes, qu'ils soient tendance sociaux-démocrates ou furieusement d'extrême gauche enfourchent eux aussi et depuis longtemps, le dogme de la négation. Trois lettres qui arrêtent la machine à réfléchir et mettent fin à toute évolution. La direction des partis ou ce qu'il en reste, tire le rideau sur les idées et l'autoflagellation des quelques membres encore lucides. De ceux qui aimeraient comprendre et se posent de vraies questions. C'est le bout d'un chemin qui ne menait nulle part.

Matamore
Le dénigreur n'est pas forcément fidèle à son camp. Il peut en changer pour reprendre des couleurs. La gauche, explosé et irréconciliable, avec sa meneuse de revue Martine Aubry, pour ne nommer qu'elle, disparaît dans les brouillards de la gloire éphémère du « NON». Il se murmure que tout est à reconstruire, mais reconstruire quoi sur quoi ? Cette gauche préhistorique, à la rhétorique dépassée ne fait plus recette. Les bobos humanistes aux slogans éculés, le verbe haut et les idées très en deçà du minimum requis, se sont sabordés avec enthousiasme sur l'autel des espoirs populaires. En face le même phénomène se répète avec la joie qu'on imagine. Le candidat qui se propose à l'élection de président de la smala républicaine se comporte en champion dénigreur, droit dans ses bottes. Sa carrière semble plus importante que le sort des français et il le fait savoir.  Son attitude politique est en retard sur son temps. 


Il se réfère au passé pour rester ce qu'il est : « Un has been » opportuniste qui finira dans les sables du désert. Une chose est certaine, l'incompétence et l'ignorance de ce petit monde à bout de souffle aura favorisé la mise en lumière d'Emmanuel Macron. Les jaloux et hargneux d'aujourd'hui sont les mêmes qui hier le prenaient pour un phénomène sans consistance et parlaient de bulle prête à exploser. Les professionnels de la chose publique furent unanimes à prévoir l'échec du nouveau venu sans expérience. Pourtant la maison de la « République En Marche » malgré les critiques de ses adversaires a brillamment réussi son pari. Le succès appelle le succès. Il privilégie, hélas, l'émergence des dénigreurs en embuscade ; permettant aux petites mesquineries et sous-entendus, de s'établir dans la durée. Il devient alors facile d'exploiter avec malveillance, supputations et petites phrases pour discréditer des membres du gouvernement. Dénoncer par dépit pour nourrir l'aigreur des échecs ou par goût du gain est un métier à plein temps que certains exercent avec habileté et talent. Détruire est à la portée de tous les imbéciles. Pour construire il faut du talent.                                                            

N.B. - Il y a et il y aura toujours un petit nombre d'irréductibles qui joueront aux révolutionnaires de bandes dessinées tels des cancres en perte de repaires, confinés dans les pré-hauts de quelque lycée. Ils se comportent comme des écervelés patentés, pourfendeurs de faux problèmes et faiseurs d'esclandres. Ils éprouvent le besoin d'éructer malveillance et vulgarité pour, croient-ils, donner un sens à leurs utopies contradictoires et irréalisables. Ce ne sont que des aboiements de frustrés dont les sociétés se lassent. Ils sont plutôt apparentés à des perturbateurs professionnels, habités d'une volonté de nuisance, que des performeurs d'idées. Ces adeptes de la mésentente et du « Y-a-qu'à » permanent sous couvert de patriotisme se leurrent. Ils combinent ce qui fut avec une vision éculé de l'avenir, ce qui provoquera, dans le meilleur des cas, le trou noir dans lequel disparaîtront les pensées éruptives Melenchoniennes et celles des frondeurs exotiques de l'extrême gauche façon Aubry. Les reproches que l'on pourrait faire à la presse c'est d'être systématiquement à l'affût des petites phrases, de rechercher les failles à exploiter en mettant l'accent sur des interprétations aléatoires au lieu de traiter les vrais problèmes, ceux qui concernent directement la population.Suivre les supputations journalistiques de ces énergumènes qui semblent tout savoir sur tout, quitte à imaginer des réponses pour combler les vides, devient de plus en plus  fastidieux. 


*Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles. (Sénèque)

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