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FRANCE LAIQUE (divertissement halal)

La France, pays où la confusion et le drapeau de la laïcité, à l'image du petit personnel politique, se la joue halal. Une laïcité tendance élastique, en étroite corrélation avec le vote utile, selon les partis au pouvoir et le désir d'y rester. Entre foulard et Burqa, menus spéciaux dans les cantines scolaires, séparation hommes/femmes dans les piscines et aujourd'hui le foie gras halal nous nageons en pleine duplicité, partageant lâcheté et ignorance avec les guignols au pouvoir. L'ENA aux manettes, esprits brillants barbotant dans l'inexpérience des cuisines gouvernementales, mijotant formules verbeuses et menus indigestes à la gloire du petit peuple. Il s'agit avant tout de satisfaire leur ego croissant dans le but d'épater les copains de promotion.

Salafistes, islamistes, djihadistes ou musulmans sans autres titres de noblesse que l'observance du coran, le livre de toutes les contradictions et ouvert aux interprétations les plus hallucinantes selon le degré d'intelligence du lecteur. Chacun y trouve de quoi satisfaire ses ambitions. La brute, de quoi alimenter son ignorance et l'ignorant peut y découvrir son appétence pour la barbarie avec l'aide précieuse de certains imams autoproclamés. Les pitres aux affaires, à force de prudence et l'envie de ne pas trop déplaire à un électorat toujours utile aux ambitions personnelles, se font rouler dans la farine, non sans une naïve bienveillance. Ou seraient-ils, par un cynisme bien compris dans les coulisses de l'histoire, les complices avérés d'un système de gouvernance qui nous échappe? Une chose est certaine, ces manutentionnaires de la délinquance ont perdus toute crédibilité politique. Ils se sont atomisés dans les bacs à souvenirs, irrécupérables. Depuis l'antiquité des sages ont prétendus que gouverner c'est prévoir. En l’occurrence ils ne nous disent pas si cette prévoyance concerne uniquement leur propre devenir où si elle prévoit également celui de leurs administrés.


Un immense éclat de rire nous étreint les gencives lorsque nous entendons parler de démocratie. Constatant que ce magnifique pays est dirigé par des infirmes intellectuels, partiellement soumis aux lobbys tant sionistes, qu'islamistes d'où toute liberté d'expression est bannie. Une liberté qui n'est plus qu'un mythe. La petite gauche sans souffle, vivant dans une pénurie de l'imaginaire, accros aux interdits, lobotomisée par la trouille, met la France en stand-by des espoirs déçus. Une attente qui risquent de durer tant que nos lobotomisés resteront aux commandes et même au-delà, si les projets d'une relève droitière, déjà en déshérence, tient ses promesses. Religions, libertés (d'expression) ou démocratie, signes distinctifs religieux...voilà de vastes sujets ouvrant  portes et fenêtres à toutes les extravagances, dérives et contradictions. Kippa oui, voile non! Pourquoi ce qui est autorisé aux uns serait interdit aux autres? La Kippa ne serait-elle pas un signe distinctif religieux?


Nous pâtissons d'une politique gouvernementale sous influence qui subit le diktat de puissants lobbys sionistes. Une secte à des années-lumière des aspirations du juif orthodoxe, habité par le seul désir d'être dans le monde, loin, très loin des fureurs d'Israël et sa volonté de vouloir dominer la planète. Tous les postes clés de la finance internationale et la plupart des médias sont entre des mains sionistes, atout leur permettant de peser sur un nombre grandissant de gouvernements.


Beaucoup de politiques, accrochés à leurs prérogatives comme des sangsues sur une cuisse de poulet, se plient sans vergogne aux exigences de cette secte pernicieuse, va-t’en guerre et liberticide. Confusion également entre Islam, islamistes, salafistes, musulmans et arabes. Parmi les arabes il y a des musulmans, des catholiques, des juifs, des orthodoxes et des laïques au même titre qu'il existe des musulmans, des islamistes et salafistes occidentaux. Démocratie, un concept souvent utilisés dans les salons politico-littéraires, servant d'image cache misère aux discours politiques.


En fait, cela ressemble à un mot d'excuse pour masquer l'impuissance des montes en l'air qui nous gouvernent. Selon le dictionnaire Larousse, la démocratie est un système politique, une forme de gouvernement dans lequel la souveraineté émane du peuple. Souveraineté espérée mais inexistante sauf lorsqu'en, en désespoir de cause, elle finit par s'exprimer dans la rue, mettant la peur à portée de cervelle des décérébrés gouvernementaux. Quant à la liberté, celle que nous prêtons à la parole exprimée, là aussi nous sommes les dindons de la farce. Notre ami Desproges serait aujourd'hui embastillé avec la plupart de ses amis humoristes des années quatre-vingt.


Il suffit aux  lobbys sionistes de froncer  les sourcils pour que les politiques se couchent, que les intellectuels étiquetés comme tels se lancent dans un verbiage abscons,   incompatible avec la logique la plus élémentaire. Au final, nous obtenons la condamnation au silence de Dieudonné. Hypocrisie et bonne conscience à peu de frais. Le rejet de l'autre devient une mode permettant d'accéder à l'autosatisfaction d'un devoir accompli. Le pays des « droits de l'homme » se configure dans l'abstraction, devient un titre, une sorte de carte de visite pour touristes. Un label qui décline à regret un vœu pieu.


L’Homme larmoyant qui nous habite, passe du « Jamais plus cela » à la pire des barbaries. Il persiste, signe et continue de barboter dans son ignorance historique. Nous nous habituons à vivre dans le paraître et le virtuel, probablement pour éviter de nous remettre en question. Pleurant des larmes de crocodiles sur le sort d'un animal torturé, nous restons incapables de nous révolter contre des gouvernements qui assassinent leurs peuples dès que la finance ou une menace de perte de pouvoir entrent en jeu.


Nous acceptons également sans trop nous formaliser l'arnaque du discours politique consistant à promouvoir la ritournelle du patriotisme enjoignant la soldatesque à mener une guerre forcément juste, dans le but de défendre, in fine, l’intérêt des gros calibres du business. Le pauvre combattant, victime du champ de bataille, aura droit aux honneurs posthumes. Une médaille avec ruban pour une vie gâchée. Les guerres, aux noms de la finance, de la religion ou du pouvoir, ont toujours la même finalité, devenir ce que l'homme est incapable d'espérer de lui-même.

Une certaine sagesse, une main tendue vers l'autre ! Nous ne faisons qu'usurper des souhaits, oubliant de nous offrir les moyens de les réaliser Un  nombre croissant d'organisations pillent d'une façon éhontée les biens de l'humanité sans bourse délié, transformant l'homme en simple « utilité », quand il ne s’agit pas de lui dérober ses connaissances environnementales, son savoir-faire ou son expérience. En brevetant les vols de ce savoir-faire, ils enrichissent la pharmacopée industrielle, dépouillant sans états d'âme l'autochtone, amazonien entre autres.


Ronald Haakman

LE COCKTAIL MOLOTOV À USAGE PUBLIC

Le laisser aller et laisser faire de nos responsables gouvernementaux est une porte ouverte au communautarisme. Par ignorance beaucoup, par manque de réflexion souvent, par utopisme mal digéré la plupart du temps, nos concitoyens oublient qu'un territoire n'est pas extensible à l'infini. Accepter contre toute logique une transhumance arabe incontrôlée et parfois incontrôlable ouvre un boulevard au retour des pogroms de sinistre mémoire. Cette insulte suprême faite à l'humanité donna naissance au nazisme, à la déportation et aux chambres à gaz. 

Le fameux leitmotiv: «Plus jamais cela » ne fut qu'une formule facile dans le but de dégager sa responsabilité. Ce ne furent que des mots à tout faire pour donner une  consistance plus morale aux distributions de petits fours et aux flûtes de Champagne offerts lors des commémorations officielles.



Les cohortes de salafistes, barbares sanguinaires sortis tout droit du moyen âge, ignorants pour beaucoup d’entre eux, prennent prétexte du coran pour assouvir leur soif de pouvoir. Ils tuent, martyrisent, pillent et brûlent ce qu'ils sont incapables d'obtenir par le droit. Ce ne sont que des assassins mentalement déficients.



Il est toutefois navrant de constater que la responsabilité de cet état de fait incombe en grande partie à l'occident. Pourquoi se voiler la face ?  Il n'est pas déraisonnable de prétendre que l'occident, des siècles durant, a pillé sans vergogne les richesses du monde, façonnant les territoires conquis par la force, à son image. Nous avons escroqué des peuples, échangeant quelque verroterie sans valeur contre  l'or sacré  de tribus avant de les soumettre à notre volonté. Notre arrogance à vouloir inculquer notre conception du monde comme étant la seule valable, n'a pas de commune mesure. Interdire de prier d'autres dieux que le nôtre en soumettant les déviants à la question et s'étonner en fin de compte de ne pas êtres aimés par ce que nous nommant pudiquement, le tiers monde, n'est pas banal.


Que deviennent les indiens d’Amérique, les tribus d’Amazonie qui n'ont que la forêt et le fleuve amazone pour subsister? Les intérêts de quelques grands groupes industriels pillent leurs territoires au nom de la finance, à la recherche de pétrole, de gaz et d'or, déboisant les forêts, polluant le fleuve, rendant ainsi la pêche impropre à la consommation.


Aujourd'hui nous vivons un retour de manivelle.  Le « Tiers monde »  s’invite à notre table et présente sa facture. Depuis peu nous apprenons à nous défendre contre l'invasion des adeptes de l'illusoire désir de partager notre bien-être acheté à crédit. Nous nous endettons de plus en plus pour vivre sereinement la fin d'une époque, aidés en cela par des gouvernants avançant avec la canne blanche du non voyant.

Le laisser faire, le laisser aller, en refusant d’appliquer les lois par pur calcul électoraliste équivaut à mettre en danger l'existence de nos concitoyens. Nos dirigeants portent une lourde responsabilité quant à la dégradation du climat provoquée par leur indolence.  
Sauvegarder leurs prérogatives afin de se maintenir au pouvoir,  risquant ainsi de créer des désordres publiques n'est pas une attitude responsable.  Ne soyons pas étonnés de constater l'aversion toujours plus importante du contribuable envers le personnel politique.  


Les couards qui nous gouvernent sont, depuis belle lurette, dépourvus de tous sens éthique et moral. Leur courage politique n'est plus à l'ordre du jour.  

Les fonctionnaires européens œuvrant dans la capitale belge, font de Bruxelles leur terrain de jeu de prédilection. Pieds bots de l'information, techniciens avertis à l'éthique de clan solidement ancrés dans leurs bulles et bien loin des préoccupations de ceux qui les nourrissent à coups de milliards. Ils s'illustrent au quotidien par une farouche volonté de préserver leurs rentes. Habiles coupeurs de cheveux en quatre, à l'aise dans l'inutile, ils témoignent d'un enthousiasme délirant envers les lobbys de toutes sortes...un pourboire est toujours bon à prendre ! 

A aucun moment ces forts en thème, spécialistes du calibrage de melon ne se sentent concernés par la grandeur de l'Europe. Atteints par le syndrome du vol stationnaire, dont souffrent également les exécutants des basses œuvres des divers pays de l'union, ils refusent d'entamer le processus forçant l'Europe à se mettre en adéquation avec ses atouts et ses besoins. Ils souffrent indubitablement d'un défaut de vision à long terme et de manque d'ambitions altruistes. Bruxelles est une faillite exposée sur des montagnes de beurre et de viande. Qui plus est, les vénérables de la capitale font si forts qu'ils  génèrent les conditions idéales pour l’avènement d’un raz de marée de l'extrême droite à travers le continent. Ces lobotomisés de l’extrême à vision furtive ne faciliteront pas la tâche des claire-voyants. L'Europe n'est pas un souhait, un désir de grandeur ou un trait de crayon sur une carte. Il n'est pas question d'être pour ou contre, d'en avoir envie ou pas. L'Europe est une nécessité absolue, une question de survie. La mondialisation est un fait acquis, sans retour possible. La guerre est déclarée !  Nous en sommes navrés pour les obtus en tous genres.

Trop de chefs et chefaillons mettent leur ego au service du pouvoir, se servant avant de servir. Comment expliquer et faire comprendre que seule l'unité crée la force. Comment faire admettre que bien des fonctionnaires à hautes responsabilités ne sont pas à leur place là où ils opèrent. Comment expliquer et persuader une majorité de citoyens que seule l'unité Européenne pourra assurer son avenir à long terme.

Des doublons coûteux, des travaux inutiles, des organisations caduques, un clientélisme absurde et de la corruption à tous les étages, finissent par démobiliser citoyens et entreprises. Les instances gouvernementales s'acquittent si bien de leurs tâches que la plupart des pays de notre continent se détournent de l'union. Les visionnaires que furent Schumann et Monnet doivent se retourner dans leurs tombes

L’Europe est riche et dispose d'atouts phénoménaux ! Notre richesse, notre savoir, notre expérience et notre histoire détiennent les clés de notre mieux-être. Pour l'instant nous marchons en ordre dispersé faute de disposer de vrais politiques. Seule l'union des états avec un réel pouvoir économique et politique peut, à terme, devenir une force de combat. Le monde s'érige sous nos yeux en quatre zones d'influences à savoir : l'Asie, l'Amérique du nord et du sud, l'Afrique et l'Europe. L'Europe émiettée où chaque protagoniste se la joue perso est à peine audible. L'Afrique en construction se trouve dans la ligne de mire de la Chine, de l'Inde et dans une moindre mesure des autres pays de la zone  pacifique. L'Afrique et l'Australie représentent, par la richesse de leurs sous-sols, de véritables greniers à matières premières convoités par tous. En prenant la hauteur nécessaire pour embrasser d'un rapide coup d’œil l'ensemble de nos continents, nous remarquons à quel point notre monde se transforme, se reconstruit et se regroupe en fonction de ses affinités géostratégiques et politiques. Il ne s'agit pas de jeux mais de survie. 


L'Intérêt des États Unis ne se trouve plus en Europe ou au moyen orient. Le centre des opérations se déplace et se développe à grande vitesse en direction de l'Extrême Orient. 

L’avènement de l’indépendance prochaine de l'Amérique envers son énergie ne fait qu'accélérer le mouvement. Qui plus est, dans une décennie ou deux, notre parapluie protecteur, « l'Otan » perdra sa raison d’être et notre continent aux voix discordantes  perdra ses  quelques  pouvoirs de défense. Ils seront vingt-sept ou vingt-huit seuls face au terrorisme et au poids toujours grandissant, du commerce, de la finance et de l’industrie mondialisés. 

Le seul continent qui fut à notre portée, l'Afrique est prit d'assaut par la Chine et nous échappe. Elle rafle ainsi la mise aux léthargiques que nous sommes. L'Empire du milieu, cette très vieille civilisation sera bientôt la première puissance mondiale ! Alain Peyrefitte dans son livre paru en mille neuf-cents quatre-vingt « Quand la chine s'éveillera...le monde tremblera » nous l'annonça avant l'heure. Les obtus, les égocentristes et les aveugles par vocation, se perdent et se noient dans des querelles de cloché, entraînant les habitants de nos pays vers une déchéance inéluctable. Les nostalgiques des colonies, du Maghreb en général, du pastis et des palmiers en particulier, feraient bien de réviser leurs rêves de hamacs à l'ombre des citronniers en fleurs. L'Europe se déconstruit et s’affaiblit à toute allure. Elle se perd dans l'histoire de son passé, dans des rêves de grandeur et se noie dans des montagnes de confusions plus dogmatiques les unes par rapport aux autres.


Pendant ce temps, une importante partie de responsables politiques de notre planète montent aux barricades, entament leurs mues et préparent la prochaine guerre économique et industrielle. Il s'agit bien d'une guerre, d'une place à prendre et à défendre.

LE MENSONGE D'ETAT PERMANENT

Le débarquement en Normandie en 1944
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale le trois quart des habitants de  l’Europe occidentale prétendaient tomber des nues, lorsque les journaux faisaient les gros titres sur les chambres à gaz. Qui plus est, la majorité des habitants de notre continent fut également de farouches résistants… de la dernière heure. La couardise est une merveilleuse carte de visite, imprimée à grand frais et distribuée gratuitement au plus grand nombre, à la grande satisfaction de la plupart des dirigeants qui furent, pour beaucoup, partie prenante de toutes les lâchetés. Quelques grandes figures émergentes du chaos de l’immédiat après-guerre (ne citons que De Gaulle et Adenauer), furent rapidement évincées par des prédateurs sans scrupules, chargés d’ambitions peu compatibles avec une démocratie. 
 
Les visionnaires, créateurs de l'Europe
Une démocratie verbeuse, constamment prise en défaut par manque de réflexion et un besoin congénital de céder à la facilité et à l’illusoire. La situation de désordre planétaire actuelle est de notre fait. Nos exigences ataviques de conquêtes, notre volonté de disposer d’autrui et notre manière de façonner l’histoire à notre convenance, engage notre responsabilité pleine et entière.

Souvenons-nous des dénonciations calomnieuses de la part des résistants de fraîche date et leur propension à raser gratuitement la tête des femmes ayant eu des rapports sexuels avec des soldats allemands. Ce fut le courage des couards, l’héroïsme de bazar et le pain quotidien de l’imbécile dont la lâcheté rôdait à chaque coin de rue. 


Souvenons-nous de notre refus d’accepter le retour des juifs - survivants des camps de concentration - dans leurs pays respectifs. Aucun pays se targuant d’honorer la démocratie ne les accueillit.

Exodus, le navire de la honte qui fit plusieurs fois le tour du monde, avec sa cargaison de juifs rescapés des camps, chassé de port en port, sans jamais trouver de terre d’accueil.


L'Exodus ou le refus de réintégrer les juifs
Nous avons préféré nous appuyer sur l’organisation des Nations Unies, cette association de planqués aux d’ambitions diverses, mais toujours au service du plus puissant. C’est à elle, l’institution tant décriée par le  « Général De Gaulle » et avec la complicité des pays à peine libérés, qu’incomba la tache d’organiser une terre d’accueil ou mieux, un pays destiné aux juifs. Pourquoi pas en Palestine, territoire où juifs et palestiniens ont toujours vécu en plus ou moins bonne harmonie durant des millénaires. Ce fut la naissance d’Israël…naissance obtenue dans le sang par les terroristes de l’époque, bandes armées par les démocraties occidentales. Ces bandes avec l’aval bienveillant des institutions internationales, disposaient d’un armement en suffisance pour chasser, assassiner, torturer et dépouiller les autochtones.  



Les terroristes d’alors se frayèrent un chemin à travers les dites populations à coups de cocktails Molotov et de grenades.  Les protagonistes de ces massacres furent Ben Gourion, Golda Meir et autres Moshe Dayan (Voir les journaux de 1947/48 facilement consultables sur le web.).

Il n’a jamais été question de traiter avec les palestiniens. Ils ont été chassés de chez eux, assassinés ou torturés, puis parqués dans des camps dont certains subsistent encore en 2013.  Ils subissent toujours la loi de l’occupation et il est parfaitement légitime que ce peuple cherche à s’en émanciper. Par les armes s’il le faut…
Aujourd’hui encore ils sont régulièrement dépouillés de leurs biens et emprisonnés sous prétexte de représenter une menace pour l’état d’Israël, l’envahisseur.                                                                             

Conflit Israélo-palestinien
Depuis soixante cinq ans les Palestiniens sont prisonniers de leur  territoire dont les frontières sont définies avec condescendance par Israël. Un territoire constamment remis en cause par de nouvelles implantations de colonies, sous l’œil indifférent de la plupart des instances juridiques internationales. L’étonnement occidental envers la révolte permanente des arabes dans cette partie du monde est tout de même surprenant. A croire que nous n’y sommes pour rien.
                        
Israël, tenu à bout de bras par les Etats Unis en tant que leur fer de lance au moyen orient, se trouve de plus en plus en porte à faux par rapport à la situation de cette région. Israël ne fait qu’attiser une haine tenace et son devenir risque de poser problème le jour où le pays cessera de servir de levier d’influence aux uns et aux autres. La situation au Moyen-Orient, grâce à la subtile politique hégémonique de certains pays occidentaux est explosive. En fait nous récoltons ce que nous avons semés. Le grand chambardement partiellement idéologique dont nous sommes pour beaucoup, entre salafistes, djihadistes, frères musulmans et musulmans laïques,  bat son plein et ne demande qu’à s’étendre vers l’extrême orient.

Barack Obama & le Gaz de Schiste
L’Amérique d’Obama se réveille et constate qu’elle n’est plus le gendarme du monde, qu’elle n’a plus les moyens de faire plier des adversaires à sa guise.  Depuis l’avènement « Obama » la politique est au désengagement à marche forcée, d’autant plus que grâce aux gaz de schiste elle pourra bientôt se passer du moyen orient pour son approvisionnement énergétique. L’importance des pays du Golf va en diminuant pour les Etats-Unis et par conséquent renforce le rôle qui incombe à l’Europe. Le support logistique des Etats Unis envers l’Europe n’est plus un acquis à long terme et l’Europe n’est pas en mesure d’assurer son autonomie.

Vietnam - Conséquences de l'Agent Orange.
Gouverner c’est prévoir, mais depuis plus de cinquante ans les erreurs se sont multipliées, s’enchaînant les unes aux autres, telles les perles d’un collier. Toutes les politiques menées par l’occident le furent pour satisfaire le court terme et pour engraisser démesurément les gros complexes industriels et leurs financiers. Guerre de Corée, de Panama, le putsch d’argentine pour favoriser l’accession de Pinochet au pouvoir, le Vietnam, l’Erythrée, la guerre du Golf, l’Iraq, l’Afghanistan et toutes les petites révolutions ne faisant pas les gros titres. Des millions de morts et d’estropiés qui n’ont servis à rien, si ce n’est d’ajouter du deuil aux ruines. Le fauteuil club pour les mandataires et les cercueils pour la population.

Arroser le Vietnam de défoliant n’est pas la meilleure méthode pour favoriser l’amitié entre les peuples. 


Accepter sans broncher le gazage des Kurdes en Iraq par Saddam Hussein et monter sur ses grands chevaux lorsqu’il s’agit des méfaits du gouvernement Syrien de Bachar, n’est pas un signe d’humanisme, mais simplement une question d’intérêt géopolitique à sauvegarder. Ô oui, le cynisme est un couteau tranchant au service du puissant qui voit le peuple comme le tigre voit l’agneau, un simple moyen de se sustenter.

Le désir des populations concorde rarement aux intérêts des dictatures de la finance. Qu’il s’agisse de gouvernements, de gros propriétaires terriens façon Brésil, de complexes industriels et agro-alimentaires ou de banques, le peuple ne jouera, comme de bien entendu, que les utilités. Son rôle consiste à être soumis et à obéir aux injonctions du chef. Il y excelle la plupart du temps. Et quand les décideurs se trompent, les peuples payent, cela fait partie des règles du jeu.

A commencer par l’erreur des Etats Unis en Afghanistan. Armer le hezbollah pour en chasser les Russes fut une fausse bonne idée. A terme ce fut l’accession au grand jour d’Al-Qaïda. Vouloir abattre Saddam Hussein fut un autre projet malsain née d’une cervelle délabrée en mal de sensations fortes. Y vouloir instaurer une démocratie qui plus est, fut une flagrante méconnaissance de l’histoire. Gérer un pays artificiellement crée par d’anciens colonisateurs dans un esprit de convenance et peuplés d’ethnies antagonistes depuis plus de trente siècles, était une action voué à l’échec et un moyen de mettre la région à feu et à sang. Une démocratie ne peut s’imposer, ni par le chantage, ni par la force. La démocratie ne s’exporte pas.

Nous avons fait ce qu’il fallait pour mériter nos ennemis. Entre les intégristes de tous genres, des religions à la finance, ces derniers cherchant à ramasser les dernières miettes de l’ultime festin, nous avons atteints un point de non retour.


Dictature financière
Quant à la création de l’Europe, voulue par quelques visionnaires éclairés, ce fut un projet grandiose devant permettre à notre continent d’émerger de ses ruines pour devenir une réelle puissance autonome internationale. Une perspective considérée comme déplaisante par les Etats-Unis, y voyant à terme, une atteinte à leur hégémonie. L’Amérique a donc observé avec bienveillance la mise en pièces de cette œuvre par des branquignoles de la politique à l’esprit déchiré par de dévorantes ambitions personnelles. Nous connaissons la suite : une Europe exsangue, inexistante, dispersée, sans direction de politique étrangère, économique, militaire et industrielle. Pas de grands projets et à la tête de ce conglomérat hétéroclite censé représenter une certaine unité, la même armée d’inutiles à la recherche de pouvoirs personnels, qu’il y a soixante cinq ans.
Que faire ? Quelle sera la suite des événements ? Inverser le mouvement semble aujourd’hui hors de portée. 


Le besoin de garder le pouvoir et de faire fructifier ses biens pour paraître et gagner l’estime de ses pairs, est devenu une logique vitale ancrée dans les mœurs de celui qui n’a que cela, pour justifier son existence.

Ce n’est pas la poignée de faucons s’attribuant les trois quarts des biens de cette planète qui changera la donne. Ils ne lâcheront rien, préférant mourir écrasés sous le poids de leurs biens.

Une bonne partie de l’humanité, déroutée par des discours se voulant rassurants, ne sait à quoi s’en tenir, succombant, pour beaucoup d’entre eux, aux slogans annonçant des lendemains qui chantent…sans y croire vraiment. D’autres se battent pour leur survie sans avoir l’assurance d’atteindre les faubourgs d’une vie apaisée. La convergence de vision ou de point de vue n’est plus à l’ordre du jour. Il est à croire que la ruche mondiale se divise en cellules agrippées à leurs prérogatives pour défendre leur pré carré à n’importe quel prix. Une tour de Babel à l’échelon du monde où la langue commune a cédé la place à un dialecte incompréhensible.

Que faire ? Il serait peut-être opportun de laisser filer l’onde jusqu’au choc final. Le chaos en résultant déterminera, peut-être, les nouveaux chemins à parcourir.
C’est sur des terres agonisantes que de grands changements trouveront les terreaux nécessaires aux visions du futur.

 

N.B :

L’Europe, à l’instar de la colonne Vendôme de Paris, n’est pas un édifice incrusté de hiéroglyphes, mais une  construction hérissée d’égoïsmes nationaux, formés de vingt-sept pleutres vivant la main tendue dans l’attente de recevoir la manne de Bruxelles. Les divers lobbies, fonctionnaires agrées par les services gouvernementaux, n’ont aucune envie d’embrasser le drapeau bleu aux étoiles d’or. Ils ne pensent qu’à se goinfrer des avantages dus à leur charge, exigeant tout et son contraire sans véritable contrepartie. Chacun pour soi et Dieu pour tous, les pauvres seront bien gardés.

L’Europe souffre d’un désintérêt flagrant de la part de sa population, faute d’avoir su l’intéresser à l’histoire de notre continent. Faute aussi de ne pas avoir su lui insuffler un réel idéal européen, un rêve où l’avenir côtoie la grandeur.  Ce ne sont pas les technocrates, maîtres ès arrogance, avides de promulguer des  lois, d’instaurer des règles et de fixer des interdits qui auront le pouvoir d’enthousiasmer les foules.

La vision de nos sémillants fonctionnaires se limite, sans états d’âme, à structurer, à formuler, à programmer en oubliant de donner vie à une nouvelle confiance, largement perdue mais absolument indispensable au bon fonctionnement de l’Europe. L’Être humain a besoin de se sentir attiré vers un futur pour pouvoir fonctionner sans trop de casse au quotidien. Avec le temps, la politique de ces forts en thèmes a réussi à assécher l’attente des peuples. Or sans adhésion massive des populations, le manque complet de communication aidant et l’absence totale de pédagogie risque, demain, de faire éclater l’idée de la construction européenne. Sans union populaire notre continent entamera sa lente  marche vers le déclin.

PESSIMISME

Pourquoi nous avons de plus en plus de peine à y croire.


Les Etats-Unis se fourvoient, avec la délicatesse du cowboy en rupture de ban. Ils possèdent la monnaie de référence, la banque centrale et une planche à billets utilisée sans modération. Partant du principe que ce qui est bon pour eux l’est pour l’univers, ils se comportent comme au dix-huitième siècle : la bible dans une main et le fusil dans l’autre. 

Peu importe le sort du reste du monde qui, de toute façon, ne constitue qu’un troupeau de moutons suivant leur berger. Politiquement les USA n’ont tiré aucun enseignement de leur histoire, pas la moindre leçon de leurs échecs. Obnubilés par la puissance de l’enrichissement, au plan personnel ou à l’échelon national, il n’y a plus qu’une constante et consternante fuite en avant vers le grand capital. 

Responsables de la crise de 1929, ils remettent le couvert, plongeant la moitié de l’univers dans l’indigence, au bord du chaos. Les victimes n’ont pas d’importance car ceux qui distribuent les cartes s’enrichissent quoiqu’il advienne. Ils s’amusent tantôt à la hausse tantôt à la baisse.

Sur le plan géostratégique, ces  irradiés de l’immédiat ne font pas mieux.  Jouant la carte de l’autoflagellation, ils épousent la pente glissante de l’occident. Après les anglais, puis les soviétiques ils se persuadent de pouvoir réussir là où les autres ont connu l’échec. Même scénario pour le Viêtnam où ils échouèrent après les français. Que dire de l’Iraq, pays martyr par la grâce de cette Amérique de tous les possibles, le désastre s’y est installé pour plusieurs décennies, mettant potentiellement à mort l’approvisionnement énergétique de l’occident.

De guerre en révolte, les organisateurs des festivités sur champs de bataille, utilisent la vieille ficelle des discours patriotiques, rythmés au son des fanfares pour justifier les sacrifices à venir. Les responsables de la sauterie - le lobby des marchands d’arme, véritable état dans l’état - ont l’esprit concupiscent et l’œil humide à la perspective d’engranger des gains faramineux, car ils savent que le sang des futures victimes sera garant de nouvelles fortunes.

Il suffit d’exhorter la chair à canon pour qu’elle fasse son devoir dans l’intérêt de la nation, toujours confondu avec l’intérêt personnel, pour concrétiser le rendement de l’industrie de la mort…avec, de surcroît, la bénédiction des églises. Les droits de l’Homme ? De la poudre aux yeux pour la majorité silencieuse. Les décideurs n’en n’ont cure. Ils continuent à se caler dans leur fauteuil en jouant à qui perd gagne.

 La Russie n’est pas en reste.  A-t-elle besoin d’une ouverture sur la méditerranée ? Qu’à cela ne tienne, le peuple Syrien se fera un plaisir d’en payer la facture devant le regard indigné des pays limitrophes scotchés sur leurs chaises. Tout au plus murmureront-ils une lâche indignation d’opérette, sous l’œil indifférent de l’O.N.U, cette institution inutile mais pourvoyeuse de rentes pour possédants. 


On y palabre, c’est tout. Et le verbe n’est qu’un bouclier.

Quant à la Chine de la dictature, après avoir rejoint les exploiteurs anonymes, elle se met au diapason du club très sélect des joueurs de poker avec pour terrain de jeu les influences terrestres. Ayant la main en tant que créancière de la plupart des pays, c’est elle qui, par sa puissance financière, s’attribue le droit de distribuer les richesses de notre planète.

Tout se discute, se partage, s’exploite, s’aligne et s’encaisse par-dessus la tête des populations, auxquelles on concède avec générosité l’accès à la misère institutionnelle soit: la faim, la soif, la peur, le désordre, la maladie et la mort. 


Les mensonges et les trahisons, nourris par les égoïsmes nationaux et le manque de vision, font que la corruption sévit à tous les étages de la société…pour finir par tenir lieu de gouvernance. Désormais nourri de débats intellectuels sans fin pour exister et justifier privilèges et pouvoirs, le jeu de dupe est devenu irréversible.

TERRORISTES

Il serait peut-être temps de mettre cette expression entre parenthèses et d'arrêter de stigmatiser les bombes humaines que nous avons, par nos inconséquences répétées à travers les décennies, fabriquées de toutes pièces. Nous payons nos lâchetés passées et présentes, notre manque de vision et nos égoïsmes nationaux.

Croire que tout peut se résoudre par la force et qu'il suffit de nier les problèmes pour les faire disparaitre, est une vue de l'esprit. Le monde change, se transforme, fait surgir par endroits ce qui était caché et met fin à l'existence de certains acquis. Nous faisons corps avec la nature et nous en vivons les conséquences : S'adapter ou disparaitre. Notre survie réside dans notre capacité à nous entendre.

Nous demeurons encore dans les conséquences des rapports de forces de l'armistice de 1918. Nos intransigeances lors de la signature qui mettait fin à cette guerre meurtrière a grandement contribué a modeler la figure de proue que fût Hitler pour ses pairs et son peuple. En affamant les allemands nous avons contribué à l'émergence du nazisme.


Puis nous fîmes semblant de découvrir les camps de concentrations, leur cortège d'horreurs, leur planétaire infamie. Il n'a fallu que quelques mois, des exécutions sommaires de « collabos », des crânes de femmes rasés pour partage d'amour avec l'ennemi, pour remiser cet indescriptible évènement dans un coin de notre mémoire et de passer aux excitants plaisirs de la paix et aux rêves d'avenir.

Après un temps d'euphorie, ce fut retour au pragmatisme !

Il fallait mettre à jour nos petites lâchetés en recherchant une solution au problème juif.
D'accord pour verser quelques larmes, pour commenter la tragédie juive par des beaux discours qui n'engagèrent personne...hélas. A l'instar des « Roms » il y a quelques semaines, aucun pays ne voulut en accepterà l'intérieur de ses frontières. Souvenons-nous de l'Exodus...

Comme toujours la solution se trouvait ailleurs, chez les autres, loin de chez soi.

C'est avec l'agrément des institutions internationales que l'Europe et les États Unis décidèrent d'octroyer la Palestine aux juifs afin qu'ils puissent y construire la terre promise......par Moïse.

Une terre déjà martyrisée par les troupes anglo-américaines du récent conflit. Une sorte de « Terra incognita » ou considérée comme telle par les gouvernements occidentaux, profitant presque tous des colonies. 

Les fonctionnaires des institutions internationales, mis en place par les divers gouvernements ne demandèrent qu'à ajuster leurs votes aux exigences du moment. Ce fût la naissance d'Israël et le début des problèmes dans la région. Nous entendîmes à nouveau parler la poudre et...de terroristes.

Nous avons faiblement protesté contre les exactions commises par les « sionistes » lors de l'invasion des territoires palestiniens... Ces Palestiniens qui ne furent considérés que comme des « bougnoules » par beaucoup et aujourd'hui encore par certains, comme des sous hommes.

Beaucoup de palestiniens, soixante-dix ans après le début de l'invasion, sont encore en errance sur leur propre sol.

Ce furent de nouveau la dynamite et les cocktails Molotov qui eurent droit de cité, cette fois « grâce à » Ben Gourion et de Golda Meir. Vint la décolonisation et la souveraineté retrouvée de l'Égypte ainsi que des autres pays du moyen orient, ouvrant ainsi la porte au conflit de Suez, l'occident souhaitant garder la main haute sur le canal. Pour une fois, l'Angleterre et la France trouvèrent un point d’entente. Depuis la création de l'état d'Israël, les gouvernements successifs mettent tout en œuvre pour confisquer la parole aux Palestiniens, barrant la route à une politique pouvant conduire à la création d'un état fiable et à une frontière commune. Il n'est pas douteux d'affirmer que tant qu'un gouvernement à majorité « sioniste » gèrera le pays, le débat pour définir la frontière d'un nouvel état restera une fiction pure.

Israël semble manifestement chercher la guerre et finira par l'obtenir pour disparaître avec elle. 


Il est attristant de constater qu'en se début de siècle, les pensées dominantes se limitent à la destruction de l'autre. Nous plongeons sans scrupules les deux tiers de l'humanité dans la maladie et la famine. Nous ruinons des tribus entières en volant leurs connaissances et leur savoir faire pour une poignée de dollars, souvent avec l'appui des égoïsmes d'état, de fonctionnaires bornés et de petits chefs ineptes, dans l'indifférence la plus totale.

Incroyable de constater notre impossibilité à tourner le dos à la violence inutile, notre constant recours à la brutalité pour assouvir des bas instincts censés nous valoriser. A force de considérer l'économie comme l’unique sésame vers le bonheur, nous passons à côté de l'essentiel et scions la branche sur laquelle nous sommes assis, aveugles que nous sommes aux désastres qui se profilent.

Par exemple, L’Irak et l'Afghanistan, pour ne citer que ces deux pays souverains, sont littéralement « mis à sac » par la coalition des armées occidentales, sous des prétextes assurément fallacieux.

Il est pour le moins surprenant d'entendre des oligarques parler de démocratie. C'est le mariage de la carpe et du lapin. Traiter Saddam Hussein de criminel, d'assassin, parler d'armes de destruction massive pour avoir une bonne raison de le renverser et de lui confisquer ses puits de pétrole, s’inscrivent dans le cynisme qui semble devoir toujours prévaloir. Personne, par contre, n'a pensé aux conséquences. Aux nombre de morts, aux estropiés, à la destruction des infrastructures, à la montée des Talibans, à la corruption et l'aversion grandissante envers l'occident.

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RACISME COUTUMIER

Le racisme ordinaire est une notion à laquelle beaucoup prétendent échapper. L'homme est persuadé d’aimer, d’admettre et de comprend...