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BANKSTERS BRAQUEURS DE CONTRIBUABLES

Alors les dés ont cessé de rouler, les bankster sont à l’affût, les politiques endossent leur tenue d’opérette, les partis jouent à qui perd gagne, les guerres se multiplient les révoltes grondes, les syndicats se mettent en grève et les cortèges de miséreux ferment la marche. Les experts en tous genres continuent à être grassement payés pour persister dans l’erreur.

L’Oracle, le visionnaire, le gourou de tous les possibles, celui qui mettra fin aux marasmes de hier et d’aujourd’hui, est aux abonnés absents. Des petites frappes se substituent à cet espoir déçu et se répandent telle une nuée de sauterelles à travers nos villes et villages, bien décidés à y faire la loi en imposant leurs règles à coups de Kalachnikov. Les valeurs morales sont en bernes ! Très contestées dans le landernau, elles subissent un douloureux curetage, afin d’en extirper les quelques miettes de noblesse et d’honneur encore vivaces dans les méandres de la pensée humaine.

La population découvre avec stupéfaction le gang des « Banksters » les magiciens de la haute finance, secondés par une brochette de dirigeants des grandes banques.


Des génies de la dissimulation, rapaces aux multiples visages, le verbe haut, organisés comme des commandos d’élite et passés maîtres dans l’enrichissement frauduleux. La belle affaire. 

Tout cela aurait été impossible sans la complicité d’une légion de politiciens peu regardant sur l’éthique. De vrais auxiliaires mafieux.

Ces artistes de haut vol organisent la corruption planétaire à tous les niveaux, notamment le recyclage d’argent sale. Peu importe la marchandise, qu’il s’agisse de ventes d’armes ou de trafic de drogue, ce sont les gains qui ouvrent les appétits. La vie humaine devient accessoire pourvu que tonne le canon. Arroser les ethnies en conflit et fomenter soulèvements et révoltes. Depuis longtemps ce jeu de cyniques a franchi la ligne rouge.


Le bénéfice de chaque guerre est double, voire triple. Un premier gain se réalise lors de la vente d’armes, le second consiste à alimenter le conflit dans sa durée et pour terminer, les responsables de cette arnaque se payent le culot de réclamer les fonds nécessaires à la reconstruction du pays.

Le coût est colossal. Et le partage de la manne tombée des poches du contribuable s’effectue à l’aune des sommes récoltées et de l’importance des participants dans la hiérarchie des malfaiteurs. Les délinquants des hautes écoles ont également leurs œuvres. Belle formule permettant de passer de l’ombre à la lumière. Moins de deux cents personnes physiques disposent de quarante pourcent des richesses de la planète.

A l’échelon planétaire la corruption atteint des sommets inimaginables. Prébendes, pots de vin, chantages, meurtres, toutes les méthodes sont validées lorsqu’elles sont efficaces, cela implique également certaines  O.N.G. Sans cette destruction massive des richesses, aucun pays ne serait en déficit.

 
Le « taxpayer » remplace la planche à billet, puisqu’il rembourse les pertes des grandes entreprises sans en récolter les dividendes. Qui plus est, durant les conflits, il sera contraint de verser son sang pour défendre les fabuleuses fortunes qui se construisent sur le dos des combattants.

La classe moyenne marche au slogan, aux promesses qui n’engagent personne et au conditionnement par l’offre pléthorique de gadgets en tout genre, ne servant que de poudre aux yeux. L’Ardoise de notre fameuse crise, dont seuls sont responsables les spéculateurs de haut niveau, sera effacée par le contribuable, travailleur captif et utile qui payera pour l’ambition et les egos des oisifs du grand capital.    

La société est malade. Malade du virtuel, du mensonge, du vol, de l’hypocrisie, de l’empoisonnement, des verts, de la gauche, du centre, de la droite et des escrocs en tout genre.

Les politiques ne constituent qu’un conglomérat surfant sur les vagues d’une finance, ballottée au gré des caprices des sociétés d’investissements. Les partis rêvent de faire de la politique, en réalité ils confortent banques et fonds d’investissements, une main dans la poche du contribuable, l’autre cherchant l’aumône auprès des donneurs d’ordres. Il est difficile de mordre la main qui nourrit leurs ambitions.

MANIPULATIONS


Nous sommes les victimes heureuses et consentantes d'une manipulation à l'échelle mondiale. Beaucoup de médias, enfermés dans la camisole du politiquement correct, soumis aux exigences rédactionnelles ainsi qu’aux circonstances sociétales du moment, se feront un devoir de nous indiquer la bonne manière de penser.

La préférence ira incontestablement vers le verrouillage de la masse des consommateurs par la  promotion et l’intensification des habitudes de consommer. Créer des besoins anarchiques en abusant du marketing sous toutes ses formes.

Sur le plan industriel la technique consiste à rendre tout achat rapidement obsolète. Quelques modifications mineures des objets du désir et une bonne publicité suffisent.

La mode est au marché et la réflexion se fait complice du capital. Tout est devenu une question de coûts et de coups, de formules et d’annonces. Inventer les slogans justifiant l’importance du paraitre tout en vantant les mérites de l'article qui fera la fortune du fabriquant. Les médias sous la haute surveillance des annonceurs se feront un plaisir de matraquer le chaland pour assurer les avantages de telle crème, telle boisson, téléviseur, portable, voiture, etc. – afin de donner l’illusion  que les sommets du bonheur sont à portée de sa main. La félicité virtuelle par mensualités.

Avant, il y avait l’Homme et l’argent. Aujourd’hui il y a l’Argent et… l’homme avec l’avoir qui remplace le devoir et… l’être.

Quatre-vingt ans de montée en puissance de l’ordre de la finance mis au point lors des accords de Bretton Woods en 1944 entre John Keynes et Dexter White. Depuis peu nous avons atteint le sommet du capitalisme sauvage. C’est la fuite en avant car plus aucun gouvernement ne maitrise la situation.

Que le client ait ou non les moyens de s'offrir le gadget ou la chose importe peu. Les institutions bancaires ouvriront des lignes de crédits pour faciliter l’accès au bonheur de leurs nouveaux clients, autre stratagème pour arrimer l'individu aux impératifs du commerce. Il faut que l'argent roule, de préférence en direction des banques et donc de la finance.

La finalité à peine voilée est de rendre le consommateur prisonnier de ses dettes, ce qui le rendra corvéable à merci et l'intégrera dans le jeu de la mafia financière. Les gnomes obscurs auront ainsi les mains libres pour assurer le service après-vente « psychologique » de cette masse grouillante et désespérée. Masse qui fera ce qu'on exigera d'elle pour échapper aux peurs induites au quotidien.

Le phénomène, à quelques nuances près, se répète de bas en haut de la pyramide. La pression est identique pour le cadre qui subit les impératifs de rendement de son supérieur, qui lui-même est la proie de son banquier qui, à son tour, est la victime de ses actionnaires qui à leur tour subissent les affres des fonds de pensions toujours prêts à exiger des rendements plus élevés. 

C’est l’affolement général et la porte ouverte à toutes les dérives. Ce qui est grave c’est que nous n’ayons plus le choix des armes. A force de tolérer le laisser aller général en acceptant tout et son contraire, à force de tourner le dos aux inquiétudes ressenties par les populations, à force de nous enfoncer dans nos égoïsmes nationaux, nous avons mis l’Europe en miettes. 

Une Europe fédérée, cette occasion perdue nous aurait permis de lutter contre la détérioration des mœurs, qu’elles soient politique ou économiques. Pour l’heure il ne nous reste qu’à méditer le dicton hindou : « Quel bonheur, quel malheur – quel malheur, quel bonheur ». car il est probable que du prochain désastre naitront les solutions.

La minorité agissante se percevant comme propriétaire du monde est loin de se douter que la poignée d’hommes qui tirent les ficelles de ce jeu de massacre peuvent à tout instant, siffler la fin de l’intermède et décider que le moment est venu de faire table rase de la présente expérience.

Ce serait la fin de la société occidentale.

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RACISME COUTUMIER

Le racisme ordinaire est une notion à laquelle beaucoup prétendent échapper. L'homme est persuadé d’aimer, d’admettre et de comprend...