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ISLAMOPHOBIE – ANTISÉMITISME


1942 / 2012
L’Islamophobie, au même titre que l’antisémitisme, furent prévisibles. La création de l’état d’Israël en 1948, dont les frontières sont toujours contestées par une grande partie de pays arabes et l’avènement de la décolonisation, en sont les principaux éléments déclencheurs. La situation en Afrique du nord et au Moyen-Orient, pour le moins compliquée, n’a cessé d’être explosive depuis. Cela fut particulièrement vrai pour la Palestine que nous avions omis de consulter lors de l'établissement de l’Etat hébreu sur ses terres. De guerres en Intifada, d’attentats en agressions, le fiasco de l'Algérie Française aidant, le rejet du monde arabe prit des proportions inquiétantes. La découverte et la mise en perspective des camps d’extermination ont également aidés à générer une certaine compassion en faveur de la création d’un état juif. Un large consensus occidental a permis d’imposer les frontières d’Israël à la communauté Palestinienne, sans faire trop de vagues. Cette empathie occidentale fut toutefois un peu forcée par le sentiment de culpabilité éprouvée par les instances du monde libre. Il fut en effet plus facile d’offrir la Palestine aux juifs, que d’accepter de les réintégrer dans leurs pays respectifs. Souvenons-nous de l’Exodus ! 



L'Exodus
L’Europe, quant à elle, a su garder les yeux mi-clos durant les exactions commises  lors de la conquête des terres palestiniennes. En effet, se frayer un chemin à travers des territoires à coups de grenades et de cocktails Molotov en enfermant une partie de ses opposants dans des camps de fortune, afin que « l’envahisseur » puisse avoir les mains libres pour agir à sa guise, ne fut pas la méthode la plus appréciée dans le monde de la vertu. Le temps aidant, la courbe anti-arabe s’est peu à peu infléchie. L’attitude d’Israël fut considéré comme de plus en plus injuste envers la population palestinienne. Le grignotage des territoires, les guerres meurtrières menées contre un peuple désarmé et les accords bafoués, ont suffi à inverser les colères et à installer un antisémitisme larvé et durable dans les esprits occidentaux. Un véritable cadeau sioniste aux palestiniens. Les gouvernements Israéliens, pour la plupart inféodés au sionisme, n’ont jamais cessés de traiter les palestiniens comme quantité négligeable. En toute logique l’attitude des palestiniens est compréhensible et le gouvernement sioniste va-t.-en guerre, joue là une bien mauvaise carte. Juifs et Palestiniens se sont côtoyés durant des millénaires sans drames particuliers et aujourd’hui encore, les populations dans leur majorité ne demandent qu’à vivre en paix. 



Grignotage des territoires 
Comme toujours se sont les tenants du dogme, avides de pouvoir et barricadés dans leurs certitudes qui sacrifient leurs ressortissants sans états d’âmes. Ces faucons de la gouvernance et apatrides de la cervelle sont capables de tuer pour une parcelle de pouvoir. Leur but non avoué est de fanatiser le peuple pour l’amener docilement à l’abattoir. Toutefois nos invertébrés de la politique ont la mémoire courte et sélective. Il semble pourtant logique et compréhensible, qu’un pays envahit se mette à résister et à combattre l’envahisseur par tous les moyens à sa disposition. Ce fut le cas des pays envahis par les nazis lors du dernier conflit mondial. Souvenons-nous du ghetto de Varsovie. Pourquoi dénier le droit aux palestiniens de combattre leur envahisseur. Cette résistance compliquée, cruelle et inhumaine favorise toutes sortes de dérives. Il est certain qu’elle ne s’achèvera pas avant que palestiniens et Israéliens ne se mettent autour d’une table, afin de négocier des frontières sûres et acceptables. L’histoire nous a maintes fois démontré qu’il est impossible de brider un peuple  sans que ce dernier ne se révolte et finisse par bouter l’occupant hors de ses territoires.



Intifada
L’apparente hystérie sécuritaire du gouvernement Israélien est contre-productive et finira par desservir le pays. La paix ne peut s’établir au détriment des autres nations. Une telle vision politique risque à terme de mettre en péril l’existence même d’Israël. Ainsi en va-t-il des Hébreu et du peuple Palestinien. Une autre préoccupation aux conséquences dévastatrices, l’incroyable laxisme des responsables politiques devant la montée d’un islam dévoyé. L’Émergence de la barbarie. Al Qaida, Moko Haram, Daech, autant de familles terroristes, d’assassins et de bandits incultes incarnant le mal absolu. Ils prennent l’islam en otage pour justifier leurs méfaits. Les musulmans en sont souvent les premières victimes, mais aussi, la plupart du temps, les premiers responsables. Leur silence assourdissant s’entend loin à la ronde. Cette situation, ne nous voilons pas la face, engage également notre propre responsabilité. L’aveuglement, l’imprévoyance et le laisser faire ont facilités la prolifération des apprentis terroristes et futurs barbares. Plus nous attendrons pour intervenir, plus les solutions deviendront difficiles et par conséquent, coûteuses en vies humaines. Les haines anti-arabes se renforceront et finiront par rendre l’occident et l’Islam encore plus incompatibles qu’elles ne le sont aujourd’hui et finiront par allonger le cortège des victimes de part et d’autre. Il nous manque hélas des hommes d’envergure, aptes à pouvoir fonctionner dans le sens de l’histoire en disposant, de surcroît, d’une vision claire du possible. 



Avoir le courage de dire ... 
Manque de chance nous voilà tenus de nous accommoder des quelques nez rouges hors d’âge et d’usage, au verbe haut et à la vision basse. Une association d’incapables en mal de reconnaissance, sympathiquement inutile et irresponsables. Un mélange détonnant pour la paix du monde. Remettre de l’ordre dans la maison « Europe » est une priorité absolue. Foin des guerres d’ego et des égoïsmes nationaux. Tout serait à remettre à plat si nous désirons limiter les dégâts du chaos annoncé. Apprendre à nous remettre en question et accepter d’endosser les conséquences de nos erreurs. Avoir le courage d’admettre nos incompétences et surtout ne pas craindre de reconnaître notre implication dans l’avènement du terrorisme que nous combattons aujourd’hui. Enfin, tirer un trait sur nos petites combines, sur les copinages et autres arrangements électoraux, afin de donner une chance à l’Europe. Seul préalable au renouveau que nous souhaitons tous. Corruption et injustice, autres fléaux que nous traînons comme des boulets derrière nous, avec comme corollaire une image affligeante et dégradante du message et du rôle des responsables  politiques. La politique est un art difficile, compliqué et peut être la proie de conséquences inattendues. C’est donc un art à exercer avec une certaine prudence. 


Il requiert une réflexion permanente, une mise en perspective constante des priorités et des problèmes. Il est également primordial de tenir compte des conséquences que peuvent induire les actions décidées. 




NB.

Quel est le sort réservé à notre société ?

Sur le plan international :

Par une méconnaissance historique, un manque de mémoire et une coupable incapacité à organiser et coordonner une politique de décolonisation, nous sommes, depuis bon nombre de décennies, les spectateurs impuissants du drame Moyen-Oriental et Africain. Des solutions satisfaisantes ne sont pas à l’ordre du jour car, quand nos bouffons de la république ont procédés à la découpe des territoires colonisés, ils ont manifestement omis de prendre en compte les diverses ethnies issues des territoires à recomposer. Ces nouveaux états aux frontières taillées à la serpe furent conçus en dépit du bon sens, poussant des ethnies, antagonistes depuis des siècles, à la cohabitation, favorisant ainsi l’avènement, à terme, de futures dictatures. 

Des années de soulèvements et quelques guerres plus tard, nous voilà contraints de subir les assauts d’un terrorisme barbare, ignoble et inhumain de la part d’une armée de sous-hommes mettant la Syrie, la Lybie, l'Irak et bientôt l’Europe à feu et sang. Ces bandits incultes, interprètent le coran de façon spécieuse pour justifier assassinats et décapitations, cherchant à installer leur Califat partout où ils le peuvent. C’est avec une paisible arrogance que nous perdons, par un manque de savoir-faire, les avantages que nous avions mis des années à développer durant l'aventure coloniale. 

Sur le plan national :
Nous avons une jeunesse qui, comme toute jeunesse, a besoin de rêves, d’idéaux, de justice et peut, en tombant entre les mains expertes d’un Imam à la recherche de « combattants » devenir une proie facile. En échange d’une promesse d’avenir radieux, avec comme cerise sur le gâteau, la garantie de recevoir en fin de contrat, soixante-douze vierges en prime, le sort de la malheureuse victime est scellé. Depuis des décennies, nos travestis de la politique, tous gouvernements confondus, connaissaient la situation. Ils laissaient faire par gain de paix Nous en apprécions le résultat aujourd’hui. Les pieds nickelés du pouvoir n’ont cessés de minimiser les problèmes. Le leitmotiv fut…ne pas faire de vagues et filer le bébé aux suivants.

La facture sera lourde et les quelques acomptes que nous payons maintenant n’ont rien à voir avec le montant final de l’ardoise.

LE POUVOIR EN DÉLIQUESCENCE

L'homme fort de l'Eurovision
La course au pouvoir d'une partie de l'élite politique du pays a quelque chose de dérisoire et de pathétique. La gesticulation continue accompagnée de mots sans contenance et d'assertions sans poids, transforment les prétendants aux responsabilités en marionnettes de papier froissé, sans consistances. Portés par une ambition démesurée qui leur tient lieu de programme, les hallucinés s'épuisent à mouliner, sabre en l'air, dans la jungle des déçus. Les promesses de lendemains qui chantent ont fait long feu. Ils parlent, implorent ou menacent... refusant toute responsabilité d'un passé dont ils sont responsables, se moquent du présent qu'ils ne maîtrisent pas en tirant des plans sur l'avenir dont ils ignorent tout.


Ils sont juste là pour nous dire que le jour où ils seront aux affaires, ils nous ferons rêver de changement...le leur !

La situation vaudevillesque ne manque pas d'être dramatique. La plupart des saltimbanques de la politique courent derrière des formules éculées. A défaut de prendre des risques en vue de prochaines élections, ils adoptent des stratégies consistant à appliquer des idées d'un autre temps aux nécessités d'aujourd'hui. Ne rien changer qui puisse contrarier l'évolution d'une  carrière. Cela engendre un manque de vision et une totale ignorance de l'histoire et de la géopolitique en mouvement. Cette impéritie leur fait gravir des montagnes d'invraisemblances.

Les acrobates de l'inutile ne réalisent pas qu'ils dansent  sur un volcan en phase éruptive. Une partie des responsables de la planète, faute d'une diplomatie maîtrisée et d'une vision à long terme, se fourvoie dans le bricolage d'un autre temps, mettant un nombre croissant de populations en danger. Beaucoup de caciques ne savent que faire mais s'accrochent désespérément à leurs prérogatives.

La terre brûle en Ukraine, en Palestine, en Libye, en Syrie, en Irak, en Afrique, en Afghanistan, etc. -


Club Med Ukraine
des conflits évitables si le simple bon sens l'avait emporté. « Qui trop embrasse mal étreint », ce qui a été le cas dans la plupart des démarches effectuées par l'occident. Armer les talibans pour chasser les Russes d'Afghanistan en est une preuve flagrante, qui plus est, doublée d'une méconnaissance historique. A croire que l'occident a une préférence pour l'action...avant la réflexion et une mise en perspective. Les mêmes causes engendrent les mêmes effets pour...la Palestine. A force de composer avec des sentiments de culpabilités, en faisant preuve d'une certaine paresse intellectuelle et une volonté de plaire aux États-Unis, la situation Israélienne est devenue inextricable. Grâce ou à cause des Sionistes, le temps des persécutions fait peau neuve.


Ce n'est plus un revival de la solution finale envers les juifs, mais la solution finale du Sionisme envers les palestiniens. Prôner la paix pour faire la guerre, le paradoxe qui met le  Moyen-Orient à feu et à sang. Il est inimaginable que cette guerre et ses exactions, financée par l'occident, puisse engendrer une paix durable.


Révolte Chinoise
Le monde change à grande vitesse, les rapports de force se mobilisent ailleurs avec comme résultat une Europe qui s'affaiblit faute d’imagination et de volonté politique. La carte du monde se redessine autour de la Chine, des pays de l'Asean, de l'Australie et de l'Amérique du nord et du sud. Il ne sert à rien de verser des larmes de crocodiles sur la présente médiocrité de l'Europe. La lutte des ego, des petits chefs et des ambitions contrariées sont autant de preuves patentes quant à l'incompétence du petit personnel politique dans sa déplorable gestion. Le compte à rebours est commencé. Le rêve d'une Europe riche et puissante est, pour l'instant, à l'agonie. Une incompétence généralisée balaye les idées et  les espoirs mis dans la grandeur du continent. L'Europe est tout sauf un accident de l'histoire mais il est impératif qu'elle se reprenne, sous peine d'atteindre rapidement un point de non retour. A l'ère des conquêtes spatiales il n'est pas possible d'en revenir au temps des diligences. Même si la route vers le futur est pavée d'inconnus, c'est le seul chemin capable d'ouvrir sur un avenir à portée humaine. Ronronner, comme la plupart des politiciens, les fesses dans le velours en attendant une retraite (imméritée) n'est plus de mise.

Les mentalités, ainsi que les frontières de la planète artificiellement établies lors des siècles de guerres  et de colonisations, se modifient.  Des ethnies, des peuples et des pays tendent, en toute logique, à se regrouper par affinités. Ces modifications politiques et territoriales ne se feront pas sans heurts, ni douleurs. Pour faire face aux désordres actuels et ceux à venir il est nécessaire que le continent Européen se libère de la tutelle américaine.

Il serait temps pour l'union de s'occuper de sa défense en créant sa propre armée dans le cadre d'une défense fédérale. Ne plus conditionner sa protection aux impératifs de l'OTAN, donc des États-Unis, rendrait à moyen terme, l'union plus crédible. Une armée pour un continent afin de gagner son indépendance. Le même problème se  pose pour l'économie, pour la diplomatie et l'industrie. Pour obtenir les moyens de ses ambitions, l'ensemble des états de l'union, doivent parler d'une voix. Éviter les cacophonies stériles et mettre fin aux démarches en ordre dispersé vers les futurs défis de la planète.

Enfin un citoyen Européen !
Qui plus est, si l'Europe veut se doter d'un poids réel en fonction de sa puissance, actuellement théorique, une certaine perte de souveraineté est inévitable. Partir les mains vides, avec le verbe comme seule arme vers la conquête du futur, est voué à l'échec. C'est  s'infliger un autogoal et revient à soumettre le continent au dépeçage. L'Europe a des choix à faire, impliquant une vision d'avenir et engageant la totale responsabilité de ses politiciens à court et à long terme. Le jeu des demi mesures a fait long feu. Il faut inventer des nouveaux outils pour aborder les challenges du vingt et unième siècle. C'est cela ou disparaître en tant que puissance. Le bon sens populaire, les réseaux sociaux aidant, progresse partout et fait preuve d'une toujours plus importante perception politique.


Les communautés comprennent vite et se forgent sans difficulté ni complexe une image précise de ce que devrait être une justice équitable. Ce sont eux qui auront le dernier mot...



NB. l'Homme, de tous temps, s'est évertué à dépouiller ses semblables. Toutes les fortunes du monde sont issus de vols. Nord, sud, est ou ouest la problématique est la même. Qu'il s'agisse des barbares déboulant sur le sol des Amériques après la découverte du continent par Christophe Colomb, tous n'ont cessés de commettre vols, meurtres et assassinats pour s'emparer des terres et mines des autochtones.

LE MENSONGE D'ETAT PERMANENT

Le débarquement en Normandie en 1944
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale le trois quart des habitants de  l’Europe occidentale prétendaient tomber des nues, lorsque les journaux faisaient les gros titres sur les chambres à gaz. Qui plus est, la majorité des habitants de notre continent fut également de farouches résistants… de la dernière heure. La couardise est une merveilleuse carte de visite, imprimée à grand frais et distribuée gratuitement au plus grand nombre, à la grande satisfaction de la plupart des dirigeants qui furent, pour beaucoup, partie prenante de toutes les lâchetés. Quelques grandes figures émergentes du chaos de l’immédiat après-guerre (ne citons que De Gaulle et Adenauer), furent rapidement évincées par des prédateurs sans scrupules, chargés d’ambitions peu compatibles avec une démocratie. 
 
Les visionnaires, créateurs de l'Europe
Une démocratie verbeuse, constamment prise en défaut par manque de réflexion et un besoin congénital de céder à la facilité et à l’illusoire. La situation de désordre planétaire actuelle est de notre fait. Nos exigences ataviques de conquêtes, notre volonté de disposer d’autrui et notre manière de façonner l’histoire à notre convenance, engage notre responsabilité pleine et entière.

Souvenons-nous des dénonciations calomnieuses de la part des résistants de fraîche date et leur propension à raser gratuitement la tête des femmes ayant eu des rapports sexuels avec des soldats allemands. Ce fut le courage des couards, l’héroïsme de bazar et le pain quotidien de l’imbécile dont la lâcheté rôdait à chaque coin de rue. 


Souvenons-nous de notre refus d’accepter le retour des juifs - survivants des camps de concentration - dans leurs pays respectifs. Aucun pays se targuant d’honorer la démocratie ne les accueillit.

Exodus, le navire de la honte qui fit plusieurs fois le tour du monde, avec sa cargaison de juifs rescapés des camps, chassé de port en port, sans jamais trouver de terre d’accueil.


L'Exodus ou le refus de réintégrer les juifs
Nous avons préféré nous appuyer sur l’organisation des Nations Unies, cette association de planqués aux d’ambitions diverses, mais toujours au service du plus puissant. C’est à elle, l’institution tant décriée par le  « Général De Gaulle » et avec la complicité des pays à peine libérés, qu’incomba la tache d’organiser une terre d’accueil ou mieux, un pays destiné aux juifs. Pourquoi pas en Palestine, territoire où juifs et palestiniens ont toujours vécu en plus ou moins bonne harmonie durant des millénaires. Ce fut la naissance d’Israël…naissance obtenue dans le sang par les terroristes de l’époque, bandes armées par les démocraties occidentales. Ces bandes avec l’aval bienveillant des institutions internationales, disposaient d’un armement en suffisance pour chasser, assassiner, torturer et dépouiller les autochtones.  



Les terroristes d’alors se frayèrent un chemin à travers les dites populations à coups de cocktails Molotov et de grenades.  Les protagonistes de ces massacres furent Ben Gourion, Golda Meir et autres Moshe Dayan (Voir les journaux de 1947/48 facilement consultables sur le web.).

Il n’a jamais été question de traiter avec les palestiniens. Ils ont été chassés de chez eux, assassinés ou torturés, puis parqués dans des camps dont certains subsistent encore en 2013.  Ils subissent toujours la loi de l’occupation et il est parfaitement légitime que ce peuple cherche à s’en émanciper. Par les armes s’il le faut…
Aujourd’hui encore ils sont régulièrement dépouillés de leurs biens et emprisonnés sous prétexte de représenter une menace pour l’état d’Israël, l’envahisseur.                                                                             

Conflit Israélo-palestinien
Depuis soixante cinq ans les Palestiniens sont prisonniers de leur  territoire dont les frontières sont définies avec condescendance par Israël. Un territoire constamment remis en cause par de nouvelles implantations de colonies, sous l’œil indifférent de la plupart des instances juridiques internationales. L’étonnement occidental envers la révolte permanente des arabes dans cette partie du monde est tout de même surprenant. A croire que nous n’y sommes pour rien.
                        
Israël, tenu à bout de bras par les Etats Unis en tant que leur fer de lance au moyen orient, se trouve de plus en plus en porte à faux par rapport à la situation de cette région. Israël ne fait qu’attiser une haine tenace et son devenir risque de poser problème le jour où le pays cessera de servir de levier d’influence aux uns et aux autres. La situation au Moyen-Orient, grâce à la subtile politique hégémonique de certains pays occidentaux est explosive. En fait nous récoltons ce que nous avons semés. Le grand chambardement partiellement idéologique dont nous sommes pour beaucoup, entre salafistes, djihadistes, frères musulmans et musulmans laïques,  bat son plein et ne demande qu’à s’étendre vers l’extrême orient.

Barack Obama & le Gaz de Schiste
L’Amérique d’Obama se réveille et constate qu’elle n’est plus le gendarme du monde, qu’elle n’a plus les moyens de faire plier des adversaires à sa guise.  Depuis l’avènement « Obama » la politique est au désengagement à marche forcée, d’autant plus que grâce aux gaz de schiste elle pourra bientôt se passer du moyen orient pour son approvisionnement énergétique. L’importance des pays du Golf va en diminuant pour les Etats-Unis et par conséquent renforce le rôle qui incombe à l’Europe. Le support logistique des Etats Unis envers l’Europe n’est plus un acquis à long terme et l’Europe n’est pas en mesure d’assurer son autonomie.

Vietnam - Conséquences de l'Agent Orange.
Gouverner c’est prévoir, mais depuis plus de cinquante ans les erreurs se sont multipliées, s’enchaînant les unes aux autres, telles les perles d’un collier. Toutes les politiques menées par l’occident le furent pour satisfaire le court terme et pour engraisser démesurément les gros complexes industriels et leurs financiers. Guerre de Corée, de Panama, le putsch d’argentine pour favoriser l’accession de Pinochet au pouvoir, le Vietnam, l’Erythrée, la guerre du Golf, l’Iraq, l’Afghanistan et toutes les petites révolutions ne faisant pas les gros titres. Des millions de morts et d’estropiés qui n’ont servis à rien, si ce n’est d’ajouter du deuil aux ruines. Le fauteuil club pour les mandataires et les cercueils pour la population.

Arroser le Vietnam de défoliant n’est pas la meilleure méthode pour favoriser l’amitié entre les peuples. 


Accepter sans broncher le gazage des Kurdes en Iraq par Saddam Hussein et monter sur ses grands chevaux lorsqu’il s’agit des méfaits du gouvernement Syrien de Bachar, n’est pas un signe d’humanisme, mais simplement une question d’intérêt géopolitique à sauvegarder. Ô oui, le cynisme est un couteau tranchant au service du puissant qui voit le peuple comme le tigre voit l’agneau, un simple moyen de se sustenter.

Le désir des populations concorde rarement aux intérêts des dictatures de la finance. Qu’il s’agisse de gouvernements, de gros propriétaires terriens façon Brésil, de complexes industriels et agro-alimentaires ou de banques, le peuple ne jouera, comme de bien entendu, que les utilités. Son rôle consiste à être soumis et à obéir aux injonctions du chef. Il y excelle la plupart du temps. Et quand les décideurs se trompent, les peuples payent, cela fait partie des règles du jeu.

A commencer par l’erreur des Etats Unis en Afghanistan. Armer le hezbollah pour en chasser les Russes fut une fausse bonne idée. A terme ce fut l’accession au grand jour d’Al-Qaïda. Vouloir abattre Saddam Hussein fut un autre projet malsain née d’une cervelle délabrée en mal de sensations fortes. Y vouloir instaurer une démocratie qui plus est, fut une flagrante méconnaissance de l’histoire. Gérer un pays artificiellement crée par d’anciens colonisateurs dans un esprit de convenance et peuplés d’ethnies antagonistes depuis plus de trente siècles, était une action voué à l’échec et un moyen de mettre la région à feu et à sang. Une démocratie ne peut s’imposer, ni par le chantage, ni par la force. La démocratie ne s’exporte pas.

Nous avons fait ce qu’il fallait pour mériter nos ennemis. Entre les intégristes de tous genres, des religions à la finance, ces derniers cherchant à ramasser les dernières miettes de l’ultime festin, nous avons atteints un point de non retour.


Dictature financière
Quant à la création de l’Europe, voulue par quelques visionnaires éclairés, ce fut un projet grandiose devant permettre à notre continent d’émerger de ses ruines pour devenir une réelle puissance autonome internationale. Une perspective considérée comme déplaisante par les Etats-Unis, y voyant à terme, une atteinte à leur hégémonie. L’Amérique a donc observé avec bienveillance la mise en pièces de cette œuvre par des branquignoles de la politique à l’esprit déchiré par de dévorantes ambitions personnelles. Nous connaissons la suite : une Europe exsangue, inexistante, dispersée, sans direction de politique étrangère, économique, militaire et industrielle. Pas de grands projets et à la tête de ce conglomérat hétéroclite censé représenter une certaine unité, la même armée d’inutiles à la recherche de pouvoirs personnels, qu’il y a soixante cinq ans.
Que faire ? Quelle sera la suite des événements ? Inverser le mouvement semble aujourd’hui hors de portée. 


Le besoin de garder le pouvoir et de faire fructifier ses biens pour paraître et gagner l’estime de ses pairs, est devenu une logique vitale ancrée dans les mœurs de celui qui n’a que cela, pour justifier son existence.

Ce n’est pas la poignée de faucons s’attribuant les trois quarts des biens de cette planète qui changera la donne. Ils ne lâcheront rien, préférant mourir écrasés sous le poids de leurs biens.

Une bonne partie de l’humanité, déroutée par des discours se voulant rassurants, ne sait à quoi s’en tenir, succombant, pour beaucoup d’entre eux, aux slogans annonçant des lendemains qui chantent…sans y croire vraiment. D’autres se battent pour leur survie sans avoir l’assurance d’atteindre les faubourgs d’une vie apaisée. La convergence de vision ou de point de vue n’est plus à l’ordre du jour. Il est à croire que la ruche mondiale se divise en cellules agrippées à leurs prérogatives pour défendre leur pré carré à n’importe quel prix. Une tour de Babel à l’échelon du monde où la langue commune a cédé la place à un dialecte incompréhensible.

Que faire ? Il serait peut-être opportun de laisser filer l’onde jusqu’au choc final. Le chaos en résultant déterminera, peut-être, les nouveaux chemins à parcourir.
C’est sur des terres agonisantes que de grands changements trouveront les terreaux nécessaires aux visions du futur.

 

N.B :

L’Europe, à l’instar de la colonne Vendôme de Paris, n’est pas un édifice incrusté de hiéroglyphes, mais une  construction hérissée d’égoïsmes nationaux, formés de vingt-sept pleutres vivant la main tendue dans l’attente de recevoir la manne de Bruxelles. Les divers lobbies, fonctionnaires agrées par les services gouvernementaux, n’ont aucune envie d’embrasser le drapeau bleu aux étoiles d’or. Ils ne pensent qu’à se goinfrer des avantages dus à leur charge, exigeant tout et son contraire sans véritable contrepartie. Chacun pour soi et Dieu pour tous, les pauvres seront bien gardés.

L’Europe souffre d’un désintérêt flagrant de la part de sa population, faute d’avoir su l’intéresser à l’histoire de notre continent. Faute aussi de ne pas avoir su lui insuffler un réel idéal européen, un rêve où l’avenir côtoie la grandeur.  Ce ne sont pas les technocrates, maîtres ès arrogance, avides de promulguer des  lois, d’instaurer des règles et de fixer des interdits qui auront le pouvoir d’enthousiasmer les foules.

La vision de nos sémillants fonctionnaires se limite, sans états d’âme, à structurer, à formuler, à programmer en oubliant de donner vie à une nouvelle confiance, largement perdue mais absolument indispensable au bon fonctionnement de l’Europe. L’Être humain a besoin de se sentir attiré vers un futur pour pouvoir fonctionner sans trop de casse au quotidien. Avec le temps, la politique de ces forts en thèmes a réussi à assécher l’attente des peuples. Or sans adhésion massive des populations, le manque complet de communication aidant et l’absence totale de pédagogie risque, demain, de faire éclater l’idée de la construction européenne. Sans union populaire notre continent entamera sa lente  marche vers le déclin.

L'AMERIQUE QUI NOUS VEUT DU BIEN



L’Amérique, continent conquis et façonné par la vieille Europe, pourchassant l'autochtone, décimant les tribus d'indiens en répondant par le canon aux flèches. Une histoire sans grand passé dont le présent d'alors a écrit le présent d'aujourd'hui en lettre de sang. Prendre de force ce qui n'était pas offert, tuant femmes et enfants pour un lopin de terre, une mine d'or ou un troupeau de bisons en suscitant haine et vengeance par l'exemple donné.

La brutalité appelle la brutalité et fini par s'infiltrer dans les gènes pour survivre au temps. L'excuse fut Dieu et l'argent, une religion de raison. Dérober, amonceler pour avoir et obtenir le pouvoir, la formule idéale pour donner naissance à... l'Amérique. Dans ce fatras de démences, de naïvetés, de contradictions, de misères, de lâchetés, de révoltes et d'héroïsmes, certaines règles de vie se sont affirmées.

Principalement une volonté d'action, de faire, d'innover, de prise de risque et du savoir assumer.



Souvent cynique, c'est l'opportunisme qui crée l'ami et c'est le besoin de conquête qui guide les pas vers des contrées qui promettent la richesse. Petit à petit, à force de théoriser intrigues et acquis, le continent américain est devenu la première puissance mondiale s'arrogeant, derechef, le droit...de dicter sa loi. Misère et grandes tromperies, chantages, coups bas, meurtres et catastrophes provoquées ont permis à cette nation de soumettre des populations entières à sa seule volonté.Puis il y a le bombardement de  « Pearl Harbour » - le jour où l’histoire des Etats Unis bascule. L’évènement pousse la nation à s’incarner en sauveur de l’occident, donnant naissance à un formidable « Jackpot » qui permit à cet état d’engranger les dividendes de son intervention sur tous les fronts, dont les morts ne sont que le terreau de la nouvelle prospérité qui se dessine vers la fin des hostilités.
 

Suivent, à l’échelon mondial, les années de décolonisation plus ou moins heureuses avec son cortège de malhonnêtetés et de fausses promesses afin de ne pas perdre le monopole et la mainmise sur les richesses des colonisés. Pour certains, la passation des pouvoirs se révèle douloureuse et s’effectue à travers des révoltes et dans le sang.  Il n’est pas facile de tourner le dos au pouvoir et à la richesse quand on y a goûté.

Les Etats Unis, pour une question géostratégique décident de prendre la relève au Vietnam. Des centaines de millier de morts plus tard et comme toujours sur le dos des naïfs qui croyaient combattre pour la paix, un armistice est signé.

La plupart des gouvernements s’intéressent à leurs pauvres et à leurs miséreux lorsqu’ils y trouvent un quelconque intérêt, lors de votations par exemple. Pas d’intérêts, les laissés pour compte n’ont plus qu’à disparaitre. Une sorte d’Holocauste sans coupables, puisque la responsabilité n’est due qu’à la fatalité.Les années passent, permettant aux ossements de blanchir et aux victimes des raids au défoliant, de continuer à souffrir dans leur chair. Sans compensation, sans aide, dans la misère la plus totale.



L’Histoire se répète et le malheur s’installe partout où passent les chars américains. Le cynisme, le mensonge, la haine, la soif de pouvoir et d’argent, ouvrent une voie royale aux hordes barbares. Les gouvernements successifs peaufinent des discours anesthésiants aux relents patriotiques, destinés à préparer le petit peuple au sacrifice suprême, pour le bien des caciques se cachant derrière la notion de nation.


Rien de neuf sous le soleil, la danse des cadavres se perpétue avec l’ouverture de nouveaux fronts, l’Afghanistan, puis l’Iraq, notamment. Des guerres inutiles, brutales et génocidaires…financés par la population dont on cherche à faire des martyrs et qu’on envoie cyniquement à l’abattoir.

Il est à croire que le Far-West soit une composante de la nature américaine. La bible dans une main, le révolver dans l’autre.
Nation étrange aux mœurs particulières. A peine nobélisé par l’Unesco, le Président Obama s’oppose à la demande de reconnaissance de Mahmoud Abbas en faveur d’un état palestinien. Une illusion qui part en flamme.En vertu de quel principe un gouvernement, fut-il américain, peut-il s’arroger le droit d’interdire aux palestiniens de participer au concert des nations ?


L’Occident, par ses égoïsmes et son incapacité à faire naitre une vision, une prospective d’avenir capable d’entrainer la jeunesse vers un idéal collectif, n’est que le fossoyeur de son propre futur.

Colonisés par Israël avec le consentement aveugle de l’occident, l’oppression sioniste n’est possible que portée à bout de bras par le très influent lobby juif New-Yorkais et ses promesses de voix pour les prochaines élections présidentielles. Le bulletin de vote de six millions de juifs peut faire basculer le résultat d’une élection.

La politique, qu’elle soit nationale ou internationale, n’a aucune compassion pour l’être humain, facilement abandonné à son sort dès lors qu’il s’agit de garder ou récupérer une parcelle de pouvoir. Le cynisme,  la lâcheté et la compromission sont, à jamais, la nourriture favorite des décideurs américains.

PERTE DE CREDIBILITE


Israël ! Quel curieux gouvernement et quelle tristesse de constater que ce petit Etat se marginalise toujours d’avantage. Par l’intransigeance de son gouvernement il se met à l’index et terni l’image de son passé. Souvenons-nous du peuple martyr et de ce qu’il a subit lors de la dernière guerre mondiale, sans parler du refus catégorique de la plupart des pays occidentaux d’accueillir les juifs revenus des enfers. Sombres souvenirs qui ne plaident pas en faveur de nos concitoyens.

Contritions, mea-culpa, remords tardifs, cas de conscience et mauvaise volonté. Ce fut le bal des faux-cul. En réparant l’injustice faite aux juifs nous en avons commis une nouvelle envers le peuple palestinien, le dépouillant de son territoire afin que les juifs puissent créer leur nation. Dans l’esprit du Likoud ce fut le retour triomphal du peuple élu vers les sables biblique et celui du palestinien vers la soumission et la misère.

L’implantation de l’Etat d’Israël sur le territoire palestinien fut menée tambour battant avec la brutalité que nous connaissons. Pire l’agrément de l’O.N.U se révéla indispensable pour couvrir les exactions. Les journaux de l’époque parlaient déjà de « terroristes » Les portraits d’alors étaient ceux de Ben Gourion et de Golda Meir. Le silence du monde occidental fut assourdissant.

Avec le cynisme habituel de nos amis politique, il est naturel de considérer qu’un bon palestinien est un palestinien mort. Mais le terrorisme palestinien ne s’affirma-t-il comme un juste retour des choses et une réponse abrasive aux actes commis lors de la création d’Israël.

Comment feindre ne pas avoir été au courant des camps érigés par les juifs pour héberger les palestiniens chassés de chez eux à coups de cocktail Molotov. L’Histoire ne laissera certainement pas impuni les geôliers responsables des dizaines de millier d’hommes, de femmes et d’enfants qui auront vécus ou vivent encore depuis près de cinquante ans, sous tente dans les camps spécialement aménagés à leur égard. Les juifs du Likoud se sont appropriés avec maestria le mot tant décrié de « Lebensraum » mot cher aux national socialistes des années trente en Allemagne. Ils continuent d’ailleurs à en tirer profit lorsqu’ils autorisent, sans discontinuer, l’implantation de millier de nouveaux logements sur les territoires … « occupés ». 
 
Comment ne pas ressentir au plus profond de soi une révolte et un grand malaise devant les réponses politiques du Likoud face au dépouillement systématique du peuple palestinien ? Il y a lieu de s’insurger, résolument, contre la violence, toute violence, souvent induite par le double langage et des promesses non tenues.

Tendre la main aux palestiniens en proposant une paix durable et finir par les poignarder dans le dos en autorisant plus de mille constructions de logements, est loin d’être une solution. C’est action totalement contre productive ne fait qu’exacerber les rancœurs et finira par se retourner contre ses « promoteurs ». Le peuple Israélien mérite mieux que cet incroyable salmigondis que leur gouvernement jette à la face des démocraties occidentales.


La démarche du président palestinien auprès de l’O.N.U. nous a fait croire, un court instant, à un possible changement de l’état d’esprit du gouvernement israélien : Une vision plus globale et à long terme, favorisant une ouverture vers une paix obligatoire…pour éviter le chaos. Hélas le véto d’Obama afin de ménager le lobby juif  dont les voix lui sont indispensables pour son éventuelle future réélection, nous a fait perdre toute illusion.

Le temps qui passe ne fait que détériorer la situation au Moyen-Orient et jouera contre Israël. Le boomerang retourne toujours à l’expéditeur et ce pays qui a cruellement besoin d’alliés est loin de cultiver cette nécessaire amitié en autorisant la répression et les mille et quelques constructions de logements.

Que cherche Israël ? Pourquoi le gouvernement Israélien inflige-t-il au palestiniens, en faisant preuve d’une diabolique mauvaise foi et d’une perte de mémoire assez criminelle, le drame de sa propre histoire.

Nous regrettons amèrement l’intransigeance Sioniste qui, par son attitude inflexible, renforce l’intégrisme et porte une certaine responsabilité dans l’avènement d’Al Qaeda. 

L’histoire nous prouve qu’une occupation territoriale usurpée n’a qu’une durée limitée dans le temps, même si cette occupation semble interminable à celui qui la subi. L’Autisme gouvernemental est d’autre part largement désapprouvé par le gros de la  population qui ne demande qu’à vivre en paix avec ses voisins.

Le mépris voué aux autres finira par écraser ce pays qui a pourtant tout en main pour être ou devenir un phare du Moyen-Orient.

                                                                                      

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