Le réchauffement climatique n’est pas une vue de l’esprit, c’est indéniable. Nous pensons toutefois que ce phénomène est dû, pour l’essentiel, aux causes naturelles, liées à l’histoire de notre univers.
Réchauffements et glaciations se sont succédés au cours des millénaires sans que l’on puisse raisonnablement imputer ces changements qu’à l’homme seul. Nous croyons que l’influence de la population mondiale sur les mesures relevées ces dernières années, n’excèdera probablement pas plus de cinq pour cent de l’ensemble des causes incriminées.
Réchauffements et glaciations se sont succédés au cours des millénaires sans que l’on puisse raisonnablement imputer ces changements qu’à l’homme seul. Nous croyons que l’influence de la population mondiale sur les mesures relevées ces dernières années, n’excèdera probablement pas plus de cinq pour cent de l’ensemble des causes incriminées.
Croire que nous pouvons changer le cours des évènements en luttant contre le changement climatique, serait prétendre soumettre la nature à notre seule volonté. Cela nous semble absurde et d’une prétention démesurée. Il suffit de constater notre impuissance devant la répétition des dégâts causés par les ouragans, les inondations ou les éruptions volcaniques pour s’en convaincre.
Que l’homme souscrive à une plus grande compréhension écologique ne se discute pas. Chacun d’entre nous peut y contribuer en faisant preuve de bonne volonté et les occasions de bien faire ne manquent pas. Le tri sélectif, par exemple, même s’il fournit un travail gratuit aux transformateurs de déchets qui se remplissent les poches à peu de frais, reste une bonne chose.
Enseigner les rudiments de l’écologie aux enfants, leur inculquer le respect environnemental en éveillant curiosité et désir de connaissance serait également un grand pas en avant. La terre étant un bien commun dont il faut prendre soin.
Instituer l’écologie en dogme est une démarche condamnable que l’on doit combattre avec force. Il est aussi inutile qu’illusoire de vouloir renforcer le programme environnemental tel que l’espace dévolu aux éoliennes ou aux cellules photovoltaïques par des mensonges. Annoncer à grand renfort publicitaire la fin du pétrole quand nous savons disposer d’immenses réserves un peu partout dans le monde est, pour le moins, un mensonge en plus.
Refuser la transparence ouvre la porte aux illusions et aux affirmations éronées, biaisant la vérité et dévaluant d’autant la philosophie écologique.
Cela a permis aux banques de percevoir très vite les opportunités à saisir dans cette démarche vers le mieux être et à la finance spéculative d’y intervenir, d’y faire son nid en créant un puissant lobby au service d’un nouveau business international, dont le but recherché est de faire très vite beaucoup d’argent.
Depuis peu il est admis que le « fourre-tout écologique » devenu un eldorado pour les industriels et les politiques de la planète, avec comme conséquence d’encourager la finance spéculative et y trouver une place favorisant le démarrage d’un nouveau capitalisme fleurant bon la lavande, nous nous exposons à tous les abus possibles.
L’enthousiasme généré par un savant « marketing » pour une écologie à la portée de tous et une nutrition « bio » accessible aux plus humbles, nous font oublier que rien n’est parfait sur cette terre et derechef, nous sommes dans la tendance à passer par pertes et profits, les effets pervers de cette nouvelle mode. Comme d’habitude nos politiciens opposent un silence aux choses qui fâchent.
La grande marotte des génies du marketing et des médias qui en sont tributaires n’a eu cesse de vanter les bienfaits des énergies non polluantes et renouvelables. Un domaine qui rapporte gros aux commanditaires en flouant le consommateur. Parler bio est devenu le sésame du tiroir caisse et la bonne conscience du pollueur.
Le bio ? Une vue de l’esprit pour bras cassés enveloppés dans une histoire de gros sous. Il suffit de considérer la saga du yoghourt qui, avant qu’il n’atterrisse sur la table du consommateur, s’offre des citernes de kérosène en effectuant trois fois le tour du continent. Ici pour la récolte du lait, ailleurs pour le brassage et là pour l’emballage et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.
Le système de la grande distribution n’est qu’une suite de commerces dont le but est de faire de l’argent et c’est, sans états d’âme, qu’ils nous proposent des fraises bio du Brésil pour les fêtes de fin d’année.
Il y a deux sortes de pollueurs. Les gros, ceux qui détiennent le pouvoir et savent comment corrompre, comment caresser le politique dans le sens du poil, comment financer, par exemple, le ou les partis sans laisser de traces. Puis il y a nous, les sans grades.
Les premiers sont hors d’atteinte, trop puissants pour être poursuivis, les seconds n’ont aucun pouvoir. Ce sont les sans défense, les payeurs par obligation civique, en quelque sorte des manipulés…par vocation.
Un projet écologique ? Bien sûr, pour autant que nous ne pipions pas les dés, car l’absurdité de ce qui est devenu une religion écologique avec ses adeptes du dogme vert est consternante.
Les intégristes de la bougie et de la petite graine ne vivent-ils pas le quotidien comme couchés sur les brancards d’une invalidité psychique. Affolés par la couleur de la sève supposée verte en toutes circonstances, nos chers Al Qaïdistes du bienêtre semblent ignorer la formidable manipulation dont ils sont l’objet.
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