PARLONS EN

Parlons en et citons les, puisque ces adeptes de la flatterie, de l'argent et des honneurs. adorent se trouver sur le devant de la scène. Parlons en puisque ces esprits de l'amoralité, champions de la dissimulation ont  l'enrichissement personnel comme but premier. Par atavisme souvent, par sport parfois, par goût de lucre toujours. Le cynisme comme habit de lumière, l'égoïsme comme cache nez, ces promoteurs de la vertu pour autrui ont le vent en poupe. Le verbe haut, la compromission à fleur de peau et un carnet d'adresse bien  orienté, leur permet souvent d'échapper aux foudres de la justice. Ce monde de la combine au service d'un ascenseur social versus politique permet au pouvoir personnel de se développer au détriment d'une grande partie d'une population exsangue.

Idées courtes, imagination en deuil, les politiques se limitent au service minimum. Il s'agit d'éviter vagues et   contestations pouvant mettre leur avenir en péril. Spécialistes de l'endettement, pourvoyeurs de déficits, ils ruinent le pays avec désinvolture. Désinvolture d'autant plus encouragée  qu'ils savent ne jamais rembourser  les emprunts. La France est un pays à la traîne, donneuse de leçon, incapable de se gouverner. Guidée par la nonchalance d'un nombre de cacochymes détruits par la ronde des habitudes. Des rombiers assis sur leurs certitudes, déconnectés de la réalité quotidiennes et aveugles aux troubles qui se profilent de tous parts. Durer n'est pas gouverner. Réalisent-il êtres assis sur un baril de poudre, une allumette enflammée au bout des doigts ?

La société part en quenouille. Le quinquagénaire le constate à ses dépends. La pensée virtuelle, nuage sans consistance, se substitue aux réflexions de fond et accouche d'une uniformité sans portée. Les métiers s'épuisent à vouloir ressembler aux métiers du passé, comme la plupart des journalistes qui ne sont que des « Pinocchio » en bois vermoulu. Sans éducation, agressifs, ne se lassant pas d'interrompre continuellement leur interlocuteur. Beaucoup de journalistes ne méritent pas leur carte de presse. Ils énervent les auditeurs a force de mettre en scène leur insignifiance, deviennent inaudibles et seront bientôt plus détestés que « l'homo politicus ». Les vrais professionnels s'en désolent et payent pour ces tartuffes. Même problème pour l'univers du business artistique qui succombe, lui aussi, aux tares de l’insignifiance. Où sont les chanteurs, et paroliers des années soixante. Où sont les Piaf, les Brel ou Brassens et tant d'autres? Ils ont tous été remplacés par la voix chuintante de petits minets au sexe indéterminé murmurant des textes à jeter, avec la complicité coupable des médias. Les médias se perdent dans les affaires...juteuses de la corruption généralisée. En fait ses choux gras pour éveiller et satisfaire le côté morbide de ses lecteurs et auditeurs. 

Répétant inlassablement les mêmes infos, exploitant les moindres faits nouveaux, quitte à en inventer. Susciter des sentiments de haine, créer des antagonismes. Le chaos est rentable. Le peuple constatant l'étendue de la corruption se révulse. Il est toutefois coresponsable du désastre, puisqu'il accepte de soutenir la corruption en votant infatigablement en faveur des corrompus. Les gouvernements en place ne sont pas le fruit du hasard. L’Éthique cède la place à l'artifice et en appelle a l'indispensable objet permettant de contrer la solitude de l'espace virtuel. L'ultime baroud futile pour ne pas sombrer dans le marécage des dépressions. C'est la fin d'une époque et les prémisses d'un monde nouveau. Les problèmes engendrés par la période de transition ne seront pas aisés à résoudre et nécessiteront beaucoup d'imagination. Imagination qui n'est pas l'atout premier des politiques en charge du gouvernement actuel, usés par des décennies d'habitudes folkloriques.

Le vingt et unième siècle devrait pouvoir clore la porte aux bisbilles intestines et régler le problème de la corruption endémique qui sévit dans la plupart des domaines, sous peine de voire exploser la grogne et les mécontentements. Une étincelle suffirait alors à provoquer un désastre. Les décennies à venir ne seront pas faciles et imposeront certainement des choix difficiles. Les incertitudes du proche avenir compliqueront de toute évidence les réflexions de fond. Comment trouver les réponses adéquates aux questions qui se poseront par le changement structurel d'une société qui s'inventera au jour le jour. Comment discerner ce qui est bon de ce qui ne l'est pas. La situation incertaine, conflictuelle et les égoïsmes populaires ne permettront pas toujours de savoir où regarder ou qui entendre. 


Une chose est toutefois certaine, pour avoir une chance de réussite il faut une nouvelle classe politique. Plus jeune, à l'esprit non pollué par des années d'habitudes et à l'aise avec la puissance occulte de l'informatique. Des esprits neufs, capables de penser autrement, de concevoir avec imagination et en ne perdant pas de vue que c'est l'union qui fait la force.

DU GRAND GUIGNOL


Cacophonie, coups tordus, trahisons. Un système de gouvernance érigé en idéologie. Mensonges, bluffs et abus de pouvoir se sacralisent au sommet et deviennent monnaye courantes. Le triste spectacle d'une bande d'adultes irresponsables  se comportant comme des adolescents en rupture de ban. De petites révolutions de palais en guerres de succession, la mafia aux affaires joue les prolongations. Une population trahie, gavée de fausse promesses et méprisée. Le vain combat d'une élite dispersée, en perte de repaires, démissionnant devant une bande d'égotistes œuvrant pour le maintient de leurs acquis et toujours en recherche de nouvelles prébendes. 


L'apathie d'un nombre d'ahuris ouvre une autoroute aux délinquants de l'autorité. Toute l'incapacité de la France réunie autour d'une poignée d'assoiffés de pouvoir. Assoiffés dont le poids des ambitions rejailli comme d'habitude sur ceux qui remplissent correctement leur fonction. Avec le tintamarre des casseroles, les conflits d'intérêts ou les abus de pouvoir, il n'y a décidément pas de limite aux petites ou grandes malversations dont le poids financier sera, bien entendu, à la charge du contribuable. Des irrécupérables qui s'autorisent et profitent de tout ce qu'ils interdisent à la population. La corruption ou art de vivre, devient une référence, une carte de visite à exhiber.


Le spectacle confondant que nous offrent ces messieurs en quête de politique avec vue sur finance, adeptes du « self service » -  méthode méticuleusement mise au point par la coterie des sous payés du pouvoir. Ils s'étonnent  de ne plus avoir l'oreille du peuple. Ils oublient que ce dernier a une bonne mémoire et qu'il se rend compte que ces ladres s'enrichissent depuis des lustres à ses dépends. Devenir audibles en abreuvant la plèbe de promesses le temps d'une élection n'est plus vendeur. Le besoin de vérité, l'appétence pour les enjeux qui détermineront l'avenir incertain de beaucoup et la nécessité de recevoir de vraies réponses aux questions posées, est devenu l'enjeu primordial du bon fonctionnement de la chose publique. Compétences et probité sont des revendications incontournables. Les promesses qui font pschitt au bout de six mois n'ont plus la cote. Les vénérables docteurs ès concussions devraient changer leur fusil d'épaule et réapprendre à gouverner. 

Apprendre à faire de la politique dans le but de faciliter la vie des habitants et non la leur. Le carrousel des ego et le désintérêt témoigné envers la population sont des habitudes lourdes de conséquences qui se payent au comptant. Soit par un vote blanc, soit en tournant le dos au cirque des élections.


Les sociopathes de la finance feraient bien de redescendre sur terre et de mettre une sourdine au désir du « toujours plus ». A partir d'une certaine fortune l'argent n'a plus de sens. Il n'est plus qu'une carte de visite à susciter flatteries et envies au service de la corruption. Les politiques, cupidité aidant, se sont laissés déposséder de leur aptitude à réglementer la finance. Au lieu de maîtriser ce pouvoir, c'est la finance qui maîtrise le politique. Faire marche arrière pour renouer avec une éthique salutaire ne sera pas chose aisée. Il faudra beaucoup de courage et de persévérance à une nouvelle équipe de politiciens pour ne pas succomber à la puissance des lobbys. Réparer les erreurs et être à l'écoute des habitants du pays. 


Être dans le partage et expliquer sans cesse  les grandes lignes à emprunter pour s'approcher le plus possible d'une justice pour tous. Avoir à l'esprit qu'on gouverne pour le peuple au nom du peuple et non pour satisfaire des ego. La classe politique actuelle en est incapable. On ne se débarrasse pas aisément de quarante ans de mauvaises habitudes et de tricheries.


Côté Europe, cette belle idée née de la réflexion d'une poignée de visionnaires connaît de gros problèmes.  Sa réalisation, pour extraordinaire qu'elle soit, bat de l'aile. Une réalisation mal comprise et mal expliquée par des politiciens aux dogmes chevillés au corps, se comportant comme des cafards en errance planqués derrière des soubassements pourris. Des velléitaires aux notions géostratégiques hémiplégiques, n'ayant probablement jamais vus de mappe monde ou ouvert un livre de géographie. Des absents de la grande histoire et par conséquent ignorants de ce qui est et adviendra dans un proche avenir. Nous sommes ancrés dans la mondialisation  et un retour aux années trente est exclue, à moins d'en accepter les conséquences avec son cortège de dégâts, dégâts que le contribuable s'empressera de régler faute de pouvoir s'y opposer. L'Europe doit être repensée pour être en mesure d'assurer son unité et être en capacité de garantir sa défense, tant du point vue économique, militaire que stratégique. 

Elle devrait également avoir le courage d'exclure ou du moins de mettre hors d'état de nuire, le ou les pays incapables de se conformer à la charte européenne. Il est inacceptable de profiter des avantages de l'adhésion en refusant d'en partager les contraintes.

LE POLITIQUE AU COIN DU FEU

En soi une maladie mentale n'est pas grave. Les meilleures familles ont parfois des rebibes qui répondent à des aléas de cet d'ordre. Se prendre pour Napoléon, multiplier les petits pains ou voir le monde à l'envers, n'interdit pas d'apprécier les babas au rhum ou les éclairs au chocolat. Aider un esprit en mal de raison est un devoir, mais de là à confier les rênes du pouvoir à un sujet frappé par une déficience intellectuelle il y a une marge qu'il faudrait éviter de franchir. L'ami Trump semble être le candidat idéal permettant d'illustrer cette aberration du cerveau Au règne du virtuel les incapables sont rois. Les exemples sont hélas légion, ce qui n'augure rien de bon pour l'avenir de ce monde dirigé par une pléiade d'oligarques qui se remplissent les poches au détriment des pauvres et de la classe moyenne.  Cette déficience intellectuelle opère à rebours du bon sens et fini par peser sur les relations internationales qui de toute évidence ne sont déjà pas au beau fixe. 


Comme d'habitude la concussion et les conflits d'intérêts se vivent au grand jour avec la complicité de la haute finance. L'éthique en berne, le savoir faire monopolisé par les privilèges des grandes écoles et voilà le chemin qui s'ouvre aux futures compromissions élevées au rang d'élites.  Il n'y a plus qu'à stimuler avec cynisme théories et actions inutiles, voire pernicieuses, aux nations qui n'en demande pas tant. Les eunuques aux affaires, ces parangons de la carabistouille, une main sur le cœur, l'autre dans la poche du contribuable, audibles en période d'élection sont de la dynamite  pour l'avenir de la nation. Ils cumulent tous les avatars de la déchéance. Une véritable mise à feu de démagogies de bazar à l'attention d'une population excédée et fatiguée des rengaines habituelles. La montée des extrêmes rendue possible par la démission de nos pieds nickelés refusant obstinément d'abandonner langue de bois, fausses promesses et explications du monde dans lequel nous vivons. Faute peut-être de ne rien y comprendre eux-mêmes. Dans ce cas ils n'ont aucun droit aux fonctions qu'ils squattent. L'Incompétence généralisée et les concerts de casseroles semblent êtres, à l'image du psychopathe Trump, les passes-droits ou clés d'accès aux plus hautes fonctions.


La classe politique, désorientée, en pleine confusion, irresponsable, se parle à elle-même au lieu de s'adresser au peuple et peine, arrogance suprême, à remettre ses théories en question. Les besogneux du pouvoir, avec cynisme et persévérance, ne manquent aucune occasion de mettre à nu leur sens de l'inutile. A l'image de ces quelques entités qui à elles seules détiennent la moitié du PIB mondial, les  bras cassés de la politique sont, eux aussi, une petite minorité à tenir les populations en otage. Ils vivent le prurit du pouvoir comme un enfant sa scarlatine, à cette différence prêt que l'enfant en guérit. Quand on voit le Châtelain de la Sarthe enfouir la morale dans la poubelle des élections présidentielles, le commun des mortels vacille de stupéfaction. Les exemples se suivent et se ressemblent, De Marine le Pen aux Balkanys – la déontologie est en deuil et appelle à la défiance. Ces as de la combine et du démérite, de l'à peu près, des discours tronqués, aux contradictions multiples et parfois désavoués par leurs pairs, continuent sans  vergogne à alimenter leur prurit.  Le monde se délite, part en quenouille à la grande satisfaction d'un nombre croissant de dictateurs en voie d'éclosion. 


Les sociétés civiles, abruties par l'éloquente dialectique de quelques fanfarons du verbe ne perçoivent pas les dangers qui se profilent. Ils ne réalisent pas que le soleil risque demain d'enflammer les désastres. L'homme croît sans cesse  dans l'absurdité de sa condition, véhiculant sa bêtise vers l'infini ne retenant aucune leçon. A croire que l'homme cultive ses malheurs et ses désespoirs comme un but d'existence à vivre collectivement.  A force d'accepter avec crédulité le règne des Pinocchio promettant des lendemains qui chantent et qui souvent se substituent aux responsabilités du citoyen, en guise de faveur en vue de prochaines élections, l'homme en perd ses défenses et sa combativité contre l'adversité. Nous rendre dépendant pour mieux nous asservir, entraver l'action individuelle, multiplier les chicanes décourage  toute initiative et amène le quidam à une docilité voulue et irréversible. L'homme n'est pas un business plan, ni une équation à materner jusqu’à ce que mort s'en suive. Il devrait pouvoir être l'aventurier de sa propre existence.

Autre problème de taille, la confusion qui s'inscrit dans l'ADN de la géostratégie mondiale. Le continent contrarié puis dispersé, inaudible et tirant à hue et à dia, sans programmes ni perspectives , démotivé et à bout de souffle est dans l'incapacité de construire un projet. De querelles de clocher en égoïsmes nationaux, les crises de jalousie du personnel et la masse dolente des « y a qu'à »  permettent à des petits chefs néo-nazi d'émerger pour régler le sort de l'Europe...sans intervention divine. Des pays qui n'ont rien à  faire dans la communauté se permettent de prendre des décisions unilatérales sans que Bruxelles n'intervienne. C'est un vrai bordel trois étoiles. La solidarité est également aux abonnés absent. Il est scandaleux que des pays comme la Grèce et l'Italie pour ne parler que d'eux soient seuls à faire face à l’immigration. 


Avec des aides a minima et qu'ils se débrouillent ??? Comme toujours c'est l'incrédule, l’ahuri, le bien pensant et le « faux » protecteur qui rafle la mise.  C'est un bis repetita des années trente. Et pendant ce temps le politique réfléchit à comment sauver ses billes. Il semble que L'Europe  entame sa marche vers le chaos. Encore un peu, quelques pieds nickelés de plus et le sort sera scellé... et mérité. Il y a un temps pour tout. Celui du déclin  et celui de la conquête, principalement attribuée à l'émergence de nos puissants voisins. La Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique étendent leurs influences et placent leurs pions grignotant petit à petit les espaces qui ont fait la force du continent. La déchéance annoncée était prévisible.

La question est de savoir comment nous allons finir.  Subirons nous une révolution interne à cause des injustices sociales et la corruption ? Ou seront nous asphyxiés par la puissance des nouveaux intervenants en voie de formation ? 

EST-CE QU'ON NAÎT IMBÉCILE ?

On prend les mêmes et on recommence. On verse une poignée d'ego au pot des pouvoirs et on consolide langues de bois et contes à dormir debout. Mêmes discours abscons, mêmes formules attrape couillons, et mêmes mensonges. Identique aussi, la propension à considérer l'électeur comme un demeuré. Le drame Européen réside dans un manque criant de visionnaires, tant politiquement que sur un plan  géostratégique. Il y a trop de fonctionnaires aux dents longues, sans imagination, incapables d’envisager ne serait-ce que le moyen terme et donc de prendre quelque responsabilité que ce soit à quelque niveau que ce soit. Le personnel politique, bousculé dans son ronron quotidien et trop affairé à préserver son confort, s'affole. Il s'accroche aux décennies de demi mesures, ponctuées de grèves et de laisser aller. Mêmes années qui se suivent et se ressemblent. Toujours. Toujours  encore le temps du non agir et des scandales, ce temps où la France s’acharne à persister dans l'illusion d'une grandeur post coloniale. Un temps qui dure et demeure d'actualité. 

Ne rien changer sinon à la marge afin de pouvoir continuer son train train quotidien en assurant ses arrières. Aujourd'hui la planète est en feu. Une nouvelle géostratégie, à l'image des plaques tectoniques se met en place. Des pays se regroupent pour unir leurs forces et dégager suffisamment de puissance pour faire face aux nouvelles donnes. Et l'Europe se délite, s'éparpille pour mieux servir d’appât. La courte vue des uns, le manque de discernement des autres, assoiffés de pouvoir, feront le malheur du plus grand nombre. Pendant que le stratège Poutine consolide ses influences, l'Europe discute du sexe des anges et se perd en palabres stériles.


La seule préoccupation de ces coûteux inutiles – c’est de rester en place. Certains, dont la bonne foi n'est peut être pas à mettre en doute, ont simplement atteint leur seuil d'incompétence. Incapables de comprendre le fil des événements. Ils ne savent plus où ils sont, ni où ils vont et se perdent en conjectures.  Aveugles aux transformations qui s'opèrent, ils oublient que la globalisation est une réalité et non un mythe. S’adapter ou disparaître, tel est le nouvel adage. L'Histoire, de l'antiquité à nos jours, le prouve. Les cacochymes de la tradition et tenants du dogme, sont paralysés par l'ignorance et l'incompréhension. Jouer aux éoliennes n'est que temps perdu. Ils devraient restaurer l'éthique de la fonction au lieu d'endormir le militant avec des discours lénifiants. Un gouvernement digne de ce nom, a le devoir d'armer sa population pour lui permettre d'affronter l'adversité avec un maximum de chances de réussite. Il est plus facile de gueuler le cul enrobé de velours que de mordre le mollet d'un puissant. Il faut du courage et de cela, les politiques sont hélas et évidemment complètement dépourvus.

L'Aveuglement de l'Europe est une catastrophe...ou une chance extraordinaire pour des hommes d'état tels que Vladimir Poutine ou pour une administration telle que Pékin...en passe de ravir la première place aux États-Unis. La  puissance mondiale change de camp. Les partis politiques, de l’extrême droite à l'extrême gauche portent une immense et lourde responsabilité dans l'émiettement de l'union. Ces pense petit de la politique, attachés au pouvoir comme des sangsues au cul d'une truie, sont à des années lumière des préoccupations de la population. Ils sont dans le déni, la dissimulation et l'escroquerie intellectuelle.. Le monde d'aujourd'hui n'est plus celui de hier et celui de demain est à...réinventer. Pour survivre il faudra plus de solidarité avec les pays en voie de développement et ceux du tiers monde. Nous sommes tous interdépendants. Évitons de prendre des vessies pour des lanternes et voyons la réalité des choses.

Il faudra bien accepter, bon gré malgré, la hausse constante de l'immigration tant que les conflits, dans lesquels nous avons une très large part de responsabilité, n'auront pas cessé. Réfléchir, prévoir, imaginer et faire preuve de bon sens. Il n'y a que les fascistes primaires dont la pensée s'arrête à hauteur de nombril qui peuvent affirmer que tout irait mieux sans l'Europe. Les écouter  c'est risquer un retour aux années sombres, celles de la dernière conflagration mondiale. Prétendre lutter contre le chômage c'est bien, mais cela ne veut rien dire. Ce ne sont que des formules pas même agréables à entendre. Lutter contre le chômage c'est investir dans l'éducation, dans la recherche, dans la formation et l’apprentissage. Lutter contre le chômage c'est prévoir et investir tous azimuts dans les nouvelles technologies en cessant de plaider pour un retour à l'orthodoxie.

Lutter contre le chômage c'est collaborer avec des syndicats responsables en éliminant ceux qui ne cherchent qu'à conforter des rentes de situation.  C'est admettre le développement croissant de la robotisation qui à terme supprimera 15 à 20 pourcent de places de travail. C'est mettre les populations face aux évidences et expliquer que toute mutation comporte une certaine part de risque. Pour retisser des liens de confiance entre contribuables et politiques il faut user voire abuser d'un langage clair, compréhensible et transparent. C'est là qu'une nouvelle génération de visionnaires responsables devraient prendre les rênes du pouvoir car les enracinés du dogme, les austères et adeptes de ce qui fut, bref les tenants du conformisme, n'ont plus leur place dans ce monde en évolution constante.Si nous voulons donner une chance à l'Europe il serait opportun de mettre de l’ordre dans la maison afin de représenter dignement sa population.

Mettre fin aux prébendes de toutes sortes et cesser, entre autres, de considérer  la vie politique comme l'antichambre d'un bordel. Le citoyen a droit à un minimum de respect et mérite d'être traité sans condescendance ni paternalisme. Cela n’a que trop duré. Il faut que cela cesse. Maintenant. !


N.B. l'Homme et sa conception humanitaire frise l'impudence. Faire des gorges chaudes pour une fessée et accepter sans autre formes de procès que des millions de personnes, dont beaucoup d'enfants, meurent de faim ou soient assassinés pour des raisons opportunistes, est une honte pour tous ceux qui se targuent de faire de la politique. Accepter que « huit entités physiques » puissent détenir à eux seuls l'équivalent du P.I.B de plus de trois milliards d'habitants, est un scandale innommable. La plupart des inutiles de la chose publique vivent déconnectés de toute réalité, bien à l'abri de leurs égoïsmes et n'ont que faire de leurs administrés. La politique, à coups clairon, d'annonces irréfléchies et souvent hors propos, aux résultats de plus en plus virtuelles, ne servent qu'à rassurer pour durer, gagner du temps et tant pis si la crédibilité se dilue dans l'indifférence. 

La politique, telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui est morte et ceux qui croient l'exercer ne sont que pantins désarticulés et coûteux, tenus à bout de bras par les contribuables.

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