Ne serait-il pas temps ?

Ne serait-il pas temps d'oublier la course au fric pour nous occuper davantage de l'Europe dont dépend notre survie ?

L’occasion d'essayer de faire preuve d'un peu d'altruisme ? Cela nous permettrait peut-être de ne plus fuir le regard de ceux qui sont privés de tout.

Pourrions nous tenter de mettre, enfin, un terme aux discours sans contenus qui nous assourdissent et finissent par nous endormir dès que nous prenons conscience de leur vide absolu ?
Arrêtons-nous là puisqu'il s'agit d'une utopie...
Il ne serait pourtant pas inutile de porter l'estocade finale aux « terroristes » qui désirent reverdir la planète à coups d'interdits.

Ceux-là même qui veulent priver les foules de certains plaisirs que peut offrir l'existence sous prétexte du réchauffement climatique. C’est là le fait de zombies en mal de substance, de connaissance et de reconnaissance.

Le réchauffement climatique n'a pas besoin de l'homme pour tracer son chemin. Se persuader du contraire serait d'un ridicule achevé et d'une prétention hors normes.

Tout étant mouvement, en perpétuel devenir, rien n’étant figé sauf quelques cervelles dévitalisées qui finiront poussières. Le business vert fluo n'y changera rien.
Il serait par contre de bon ton de nous occuper d'un certain nombre de politiciens qui, de rond de jambes en langue de bois, nous enfument l'esprit.

Si nous devions payer ces messieurs au seul mérite il y en a beaucoup qui ne mangeraient pas à leur faim tous les jours.
Ils sont à l'image des programmes télévisuels, d'une banalité confondante à force de vieilles redites.

Nombre de citoyens s'endorment à la seule évocation de mots tels que promesses, programmes ou avenirs radieux.
Ils ont fait le jeu de la finance dans l'espoir d'une manne céleste qui leur servirait de couverture chauffante jusqu'au cercueil.

Aujourd'hui, victimes de leur égo en forme de fourchette, ils ne sont que pions sur l'échiquier de la finance mondiale.

Ils sont définitivement aux ordres, doigt sur la couture du pantalon et servilité en viatique.

Notre société en est arrivée au point de non retour.

Le chemin du chaos d'où le rêve et l'espoir sont bannis, « sauf pour les sourds et les aveugles qui ont le triste privilège de ne rien entendre, ni voir », est largement entamé.
 

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