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IMPERMANENCE

Tout a été dit, tout a été écrit ou presque...sur les vertus du politique. Tout a été dit sur ses erreurs, passées, actuelles ou celles en préparation. l’Homme politique tarde à faire de la politique. Cruellement absent des réalités, il ne voit, ni n'anticipe les changements. Ancré dans ses certitudes, il ne voit pas bouger le curseur, restant étrangement absent et sourd aux appels de la société dont il a la charge, persuadé qu’il est, de ne pas être impliqué personnellement.  Accroché au pouvoir comme des  sangsues sur une peau de chevrette, il vit hors sol, loin des évidences. Pourtant certains gouvernants annoncent l’avènement de grands changements...avec l'espoir  de ne pas en être la proie. Nos pays et leurs habitants sont des corps vivants et par conséquent évolutifs.  Rien n’est immuable. Tout est en formation, en construction et en devenir. Difficile d'échanger des points de vue avec des politiciens à l'imagination bancale dont la  fêlure interdit toute projection vers l'avenir. Difficile de faire comprendre que l'union est une réponse adéquate à la nouvelle donne planétaire. Beaucoup de pays tissent des liens par nécessité ... parfois par affinité. 


Qu'ils soient d'ordre politiques, philosophiques  ou par opportunités industrielles, peu importe. A quoi ressemblerait un match de football avec onze joueurs d'un côté et un seul dans le camp adverse. Un peu à l'image d'une nation voulant sortir de l'Europe et devant faire face, seule, au  reste du monde. Ce serait une hérésie! La politique de papa est devenue une maladie honteuse infectant les bonnes volontés.

Un des chemins possible vers un mieux-être réside dans la formation. Apprendre aux jeunes que les frontières sont devenues obsolètes avec la mondialisation et ne sont qu'obstacles à l’épanouissement individuel. Partager le besoin de solidarité et se considérer citoyens du monde. La planète se modifie à vue d’œil, change de dimension et ressemble de plus en plus à un gros bourg où tout semble à portée de main.

Un des  obstacles à l'essor d'une société vers le mieux-être: le poids de la corruption, du pouvoir corrosif de la finance et d'une incompétence généralisée de nos édiles. Le savoir à portée de tous est l’arme absolue et  incontestable contre la bêtise humaine. Les écoles, les universités et les centres de recherche le mettent en évidence à chaque instant. Au lieu de surpayer des dividendes, il serait de loin plus approprié et certainement plus rentable à terme, d'investir dans la connaissance. Seul le savoir et une redistribution plus équitable des biens pourront donner naissance à un nouvel ordre mondial.


Quant au chômage, tant que nous n'aurons pas compris que les quelques outils dont nous disposons aujourd'hui ne correspondent plus aux exigences de demain, ce secteur sinistré aura encore de beaux jours devant lui. Avec l'introduction de la numérisation et l'avènement des chaînes de montage automatisées dans la plupart des industries, les suppressions d’emplois non qualifiés, deviendront monnaie courante. Les exemples sont légions. L'Ordinateur ouvre la porte au travail à distance et la mobilité deviendra une des clés de voûte de la recherche d'emplois.  A l'ère du voyage cosmique, de la robotisation et du changement permanent, les sociétés connaîtront nombre de bouleversements qui  à leur tour engendreront des situations douloureuses. Qu'il s'agisse de la naissance de nouvelles technologies ou de morts industrielles, tout s'accomplira dans une certaine «anarchie» ordonnée. Toute structure poussée à sa limite, finit par éclater et à engendrer autre chose. Il suffit pour s'en convaincre d'observer la nature. L'Impéritie des uns, hélas doublée de l'égoïsme des autres, mettent l'humanité en déliquescence.


Les gestionnaires politiques de tout bord, du haut de leur tour d'ivoire, ne comprennent et ne respectent que le pouvoir et le bulletin de vote. Ils sont les merveilleux instruments de l'inutile, des adeptes de la langue de bois sans aucune imagination créative si nécessaire à toute vision du futur.

Pour ouvrir une voie vers l'espoir il faudrait mettre fin au marasme politique, aux scandales à répétitions, à l'inefficacité des cloportes de la gouvernance. C’est une question de salubrité publique. Éliminer le pique assiette diplômé ainsi que l'inutile doublon d’un fonctionnariat pléthorique. Mettre fin au tintamarre des partis, des batailles de petits chefs, de sous chefs, d'aspirants révolutionnaires et autres fomentateurs de troubles, devient impératif.

Un gouvernement doit être à l’écoute de sa population et gouverner dans l'intérêt du pays sans puiser dans la caisse. Les désastres ou problèmes ne sont jamais les fruits du hasard, peu s'en faut. La responsabilité du politique est toujours engagée. Se défausser sur les autres, sur Bruxelles, sur les banques ou sur la crise, n’est qu'émanations d'incompétences et couardises. Pour gouverner il faut savoir assumer ses choix, savoir faire preuve de vision tout en prenant ses distances envers les pythies du « y a qu'à ».

Il n’est pas inutile, en passant, de reconnaître honnêtement que la réussite de Marine Le Pen est exclusivement due à l’abyssale incompétence des partis traditionnels.

Nos caciques, virtuoses ès destruction, insensibles aux souffrances des plus démunis sont également dépourvus de tout sens pédagogique. Valoriser de façon substantielle leurs salaires en demandant des sacrifices à la population c'est, non seulement se tirer une balle dans le pied, mais dénote un parfait mépris envers la population. Tout cela témoigne d'un grand désarroi politique. Ils ne savent plus, mais se cramponnent désespérément à leur mandat avec l'espoir de durer...à n'importe quel prix. L’Europe mériterait un coup de torchon pour mettre fin au règne des adeptes du prêt à penser et autre révolté de salon. Mettre un terme à la politique des magouilles, aux prises de positions des vertueux de fin de semaine et en finir avec l'empire des parasites. l'Europe mériterait un visionnaire capable de sentir le poids du continent à travers le prisme d'un esprit aiguisé. Ne pas seulement attester du présent mais également attribuer un visage à la notion d'un devenir.


Projeter l'image d'une réhabilitation politique en oubliant la cacophonie ambiante et pleurnicharde. Le peuple de France n’a hélas pas les politiques qu’il mérite.

LE POUVOIR EN DÉLIQUESCENCE

L'homme fort de l'Eurovision
La course au pouvoir d'une partie de l'élite politique du pays a quelque chose de dérisoire et de pathétique. La gesticulation continue accompagnée de mots sans contenance et d'assertions sans poids, transforment les prétendants aux responsabilités en marionnettes de papier froissé, sans consistances. Portés par une ambition démesurée qui leur tient lieu de programme, les hallucinés s'épuisent à mouliner, sabre en l'air, dans la jungle des déçus. Les promesses de lendemains qui chantent ont fait long feu. Ils parlent, implorent ou menacent... refusant toute responsabilité d'un passé dont ils sont responsables, se moquent du présent qu'ils ne maîtrisent pas en tirant des plans sur l'avenir dont ils ignorent tout.


Ils sont juste là pour nous dire que le jour où ils seront aux affaires, ils nous ferons rêver de changement...le leur !

La situation vaudevillesque ne manque pas d'être dramatique. La plupart des saltimbanques de la politique courent derrière des formules éculées. A défaut de prendre des risques en vue de prochaines élections, ils adoptent des stratégies consistant à appliquer des idées d'un autre temps aux nécessités d'aujourd'hui. Ne rien changer qui puisse contrarier l'évolution d'une  carrière. Cela engendre un manque de vision et une totale ignorance de l'histoire et de la géopolitique en mouvement. Cette impéritie leur fait gravir des montagnes d'invraisemblances.

Les acrobates de l'inutile ne réalisent pas qu'ils dansent  sur un volcan en phase éruptive. Une partie des responsables de la planète, faute d'une diplomatie maîtrisée et d'une vision à long terme, se fourvoie dans le bricolage d'un autre temps, mettant un nombre croissant de populations en danger. Beaucoup de caciques ne savent que faire mais s'accrochent désespérément à leurs prérogatives.

La terre brûle en Ukraine, en Palestine, en Libye, en Syrie, en Irak, en Afrique, en Afghanistan, etc. -


Club Med Ukraine
des conflits évitables si le simple bon sens l'avait emporté. « Qui trop embrasse mal étreint », ce qui a été le cas dans la plupart des démarches effectuées par l'occident. Armer les talibans pour chasser les Russes d'Afghanistan en est une preuve flagrante, qui plus est, doublée d'une méconnaissance historique. A croire que l'occident a une préférence pour l'action...avant la réflexion et une mise en perspective. Les mêmes causes engendrent les mêmes effets pour...la Palestine. A force de composer avec des sentiments de culpabilités, en faisant preuve d'une certaine paresse intellectuelle et une volonté de plaire aux États-Unis, la situation Israélienne est devenue inextricable. Grâce ou à cause des Sionistes, le temps des persécutions fait peau neuve.


Ce n'est plus un revival de la solution finale envers les juifs, mais la solution finale du Sionisme envers les palestiniens. Prôner la paix pour faire la guerre, le paradoxe qui met le  Moyen-Orient à feu et à sang. Il est inimaginable que cette guerre et ses exactions, financée par l'occident, puisse engendrer une paix durable.


Révolte Chinoise
Le monde change à grande vitesse, les rapports de force se mobilisent ailleurs avec comme résultat une Europe qui s'affaiblit faute d’imagination et de volonté politique. La carte du monde se redessine autour de la Chine, des pays de l'Asean, de l'Australie et de l'Amérique du nord et du sud. Il ne sert à rien de verser des larmes de crocodiles sur la présente médiocrité de l'Europe. La lutte des ego, des petits chefs et des ambitions contrariées sont autant de preuves patentes quant à l'incompétence du petit personnel politique dans sa déplorable gestion. Le compte à rebours est commencé. Le rêve d'une Europe riche et puissante est, pour l'instant, à l'agonie. Une incompétence généralisée balaye les idées et  les espoirs mis dans la grandeur du continent. L'Europe est tout sauf un accident de l'histoire mais il est impératif qu'elle se reprenne, sous peine d'atteindre rapidement un point de non retour. A l'ère des conquêtes spatiales il n'est pas possible d'en revenir au temps des diligences. Même si la route vers le futur est pavée d'inconnus, c'est le seul chemin capable d'ouvrir sur un avenir à portée humaine. Ronronner, comme la plupart des politiciens, les fesses dans le velours en attendant une retraite (imméritée) n'est plus de mise.

Les mentalités, ainsi que les frontières de la planète artificiellement établies lors des siècles de guerres  et de colonisations, se modifient.  Des ethnies, des peuples et des pays tendent, en toute logique, à se regrouper par affinités. Ces modifications politiques et territoriales ne se feront pas sans heurts, ni douleurs. Pour faire face aux désordres actuels et ceux à venir il est nécessaire que le continent Européen se libère de la tutelle américaine.

Il serait temps pour l'union de s'occuper de sa défense en créant sa propre armée dans le cadre d'une défense fédérale. Ne plus conditionner sa protection aux impératifs de l'OTAN, donc des États-Unis, rendrait à moyen terme, l'union plus crédible. Une armée pour un continent afin de gagner son indépendance. Le même problème se  pose pour l'économie, pour la diplomatie et l'industrie. Pour obtenir les moyens de ses ambitions, l'ensemble des états de l'union, doivent parler d'une voix. Éviter les cacophonies stériles et mettre fin aux démarches en ordre dispersé vers les futurs défis de la planète.

Enfin un citoyen Européen !
Qui plus est, si l'Europe veut se doter d'un poids réel en fonction de sa puissance, actuellement théorique, une certaine perte de souveraineté est inévitable. Partir les mains vides, avec le verbe comme seule arme vers la conquête du futur, est voué à l'échec. C'est  s'infliger un autogoal et revient à soumettre le continent au dépeçage. L'Europe a des choix à faire, impliquant une vision d'avenir et engageant la totale responsabilité de ses politiciens à court et à long terme. Le jeu des demi mesures a fait long feu. Il faut inventer des nouveaux outils pour aborder les challenges du vingt et unième siècle. C'est cela ou disparaître en tant que puissance. Le bon sens populaire, les réseaux sociaux aidant, progresse partout et fait preuve d'une toujours plus importante perception politique.


Les communautés comprennent vite et se forgent sans difficulté ni complexe une image précise de ce que devrait être une justice équitable. Ce sont eux qui auront le dernier mot...



NB. l'Homme, de tous temps, s'est évertué à dépouiller ses semblables. Toutes les fortunes du monde sont issus de vols. Nord, sud, est ou ouest la problématique est la même. Qu'il s'agisse des barbares déboulant sur le sol des Amériques après la découverte du continent par Christophe Colomb, tous n'ont cessés de commettre vols, meurtres et assassinats pour s'emparer des terres et mines des autochtones.

INSTABILITES

En 2003* nous avions annoncé le désastre prévisible en cas d'invasion de l'Irak. Nous avions prétendu qu'une déclaration de guerre équivaudrait à mettre tout le Moyen-Orient à feu et à sang. Puis l'Oncle Sam, une fois de plus, nous prouva son incompétence en matière de géostratégie. Sous des prétextes fallacieux sentant le pétrole loin à la ronde il attaqua « le tyran et dictateur » Irakien sans en mesurer les conséquences.  A la manière des cow-boys du far-west, on tire d'abord, on discute ensuite.  Disposer du  pouvoir ne dispense pas du recours à la réflexion, surtout quand on rêve de manipuler la planète. L'Europe, hormis la France qui a sauvé l'honneur par le discours de Dominique de Villepin devant l'ONU, n'a pas été à la hauteur de ses ambitions. 


Voix discordantes, lâcheté et peur de déplaire aux États Unis, notre continent s’est plié aux exigences et aux allégations de la clique de Washington et son dévoyé en chef – Georges W. Bush. Le prétexte d'éliminer le despote Saddam Hussein, assassin de son peuple,  fut rapidement entériné pour des raisons morales par les va-t’en guerre.  

Le conflit de l'Irak fut un bon business, organisé de main de maître par une bande de truands esclavagistes, avec l'aide et le talent du baladin en chef Donald Rumsfeld dans le rôle du maître de cérémonie. 

Les affrontements entre pays musulman sont, la plupart du temps, le fait de stratèges gouvernementaux adeptes du toujours plus.  Pour répondre à leurs besoins territoriaux dans l'espoir d’établir un Califat à terme, les partisan du permis de tuer, se voient donc obligés  d'étendre leur hégémonie.  Il s'agit de  convaincre les populations concernées, d'adhérer à leur cause en acceptant de mourir pour glorifier l'Islam d'un côté ou le capital de l'autre. Tous les moyens sont bons. De la propagande à la pédagogie, de la terreur à l'élimination physique et de l'emprisonnement à la déportation. In fine ce sont toujours les dirigeants du jeu de massacre qui récoltent gloire et butin en foulant au pied les nombreuses victimes collatérales. Saddam Hussein assassin ? Efforçons nous de ne pas éclater de rire devant la tragédie du Moyen orient. Quel gouvernement n'a pas de sang sur les mains ? 

Quel gouvernement n'a pas son côté obscur, son tiroir à combines et ses placards à cadavres ?

Le cynisme des états est à son comble quand les marchands d'armes se substituent aux politiciens. Régnant à leur place à travers l'arme de la corruption, mettant la prévarication au tableau d'honneur en tablant sur le principe que tout homme a son prix. Si cela ne suffit pas on élimine !

Le Moyen-Orient, hier berceau d'une culture millénaire dont témoignent les nombreux vestiges qui parsèment les routes du savoir, est aujourd'hui en proie aux plus grands désordres. Luttes ethniques, luttes intestines, lutte de pouvoirs entremêlées de prétextes religieux. L'Occident, pétrole oblige, abat également ses cartes, ravivant les flammes de l'enfer.  Notre histoire a bien du mal à survivre dans cette situation désespérée. Le manque de discernement des uns, le fanatisme des autres, transforment petit à petit cette contrée en cimetière. Par manque de clairvoyance, par aveuglement et par la rapacité de pouvoirs dévoyés, ces pays  finiront par mettre genou à terre...  l'Intégrisme, une réponse imbécile, obscurantiste aux attentes des désespérés cherchant leurs voies dans l'existence. L'intégrisme n'est qu'un élément de pouvoir entre les mains d'un ignorant assoiffé de domination. Soumettre, écraser et terroriser sont les armes de destruction massive de l'ignare.

Les responsables politique des guerres de religions, Djihadistes et Al Qaida en tête, officient principalement dans des contrées tels que l'Afghanistan, le Moyen-Orient et l'Afrique. – Ces conflits idéologiques et géostratégiques où l'hypocrisie et le mensonge  le disputent à une démagogie de pacotille, ne sont que des combats d'arrière-garde. Gagner des zones d'influences pour les chiites comme pour les sunnites avec l'Amérique au centre faisant le jeu des deux avec l'assentiment bienveillant de l'occident. Livrer des armes, fermer les yeux et détourner la tête est une façon de gouverner convenant parfaitement aux industries. Les populations sont là pour essuyer les plâtres et faciliter l'accès au trône du grand capital. En armant les djihadistes pour combattre les russes en Afghanistan, nous avons ouvert les portes à nos adversaires de demain et favorisé la naissance d'une puissante armée intégriste. 


L'Europe mesure-t-elle seulement l'immense danger du fanatisme dans les pays musulman ? Fanatisme exportable vers nos contrées.

Notre statut d'anciens colonisateurs - dont nous ne nous sommes pas encore entièrement affranchis - nous confronte aujourd’hui au passé. Et à sa rançon. L’Histoire nous a montré et continue à nous enseigner que nous ne pouvons impunément exiger la soumission de peuples sans pâtir, tôt ou tard, de revers de médailles. Nos prétentions hégémoniques ont la peau dure.

Comme beaucoup semblent l'oublier, il n'y a pas de peuples inférieurs ou supérieurs. Il n'y a que des peuples différents et dignes de respect. Le bon sauvage n'est qu'une vue de l'esprit, entretenue par le sauvage qui est en nous. Une image qui nous rassure sur nous-mêmes. 

Alors quel avenir pour nos sociétés ? Le petit nombre de cumulards détenant la majorité des biens de notre planète, frustrant ainsi le plus grand nombre du minimum vital fera, à n'en pas douter, tout ce qui est nécessaire pour augmenter sa mainmise sur les richesses de nos continents. Ils sont dans leur rôle, du moins en sont-ils convaincus. De plus nous leur facilitons la tâche en leur tendons la verge pour nous faire molester. Incapables de cohésion dans nos démarches, nous attendons que cela se passe ! En écoutant un tribun talentueux raconter n'importe quoi, nous succombons facilement au charme du verbe, avec pour conséquence la division. La plupart d'entre nous acceptent, dans une  molle indifférence, de se plier au divers diktat, de se livrer pieds et poings liés aux exigences des modes de toutes sortes, de s'abrutir aux jeux informatiques et de payer pour les erreurs commises par ceux censés nous gouverner.


Le changement n'est pas encore pour demain !  Il n'interviendra pas avant que nous remettions la main sur notre dignité et que nous réapprenions à dire non. 



* Voir article "L'énorme éclat de rire de Saddam" (Archives HNS de 2006) 



  




COLERES


Colères ! Colère à l’endroit de la gauche, du centre, de la droite et en général de toute la politique européenne. Colère, oui colère contre les augustes nez rouges de la politique dont le talent ne s’exprime qu’en d'improductives luttes intestines ou batailles d’ego. Beaucoup de ces manœuvriers, la malhonnêteté chevillée au corps, se moquent éperdument du service public. Leur seul intérêt consiste à favoriser l'enrichissement personnel. De trahisons en combines le but est de durer Cette France que nous aimons profondément est dans un sale état. Elle n'est plus dans son histoire et qui plus est, n'a plus, depuis des décennies, de gouvernants responsables en mesure de faire face aux enjeux. C'est une fuite en avant où l'incapacité d'agir le dispute aux erreurs stratégiques à tous niveaux. Ce petit monde politique excelle à se défausser. La finance internationale, l'Allemagne, l'Europe ou sur les immigrés sont tour à tour ou simultanément boucs-émissaires. 


Notre France ne se remet pas en question.  Jamais. Cela ne semble pas concevable, dans « l’esprit français »..

Le Président de la république française, enfermé dans un dogmatisme d'un autre monde, bouffi d’orgueil, et dont, à tout le moins, l'autorité chancelle, est incapable de voir , au mieux, au delà d’une (petite) circonscription de l'hexagone. Il tourne en rond à la recherche de quelque emplâtre à mettre sur des plaies malheureusement déjà purulentes. Chef d'un pays à la dérive, délaissé par un parti éclaté, vêtu d'un costume trop large pour la fonction, en perte de crédibilité.

Le président, mais nombre d’électeurs aussi, est aveugle aux changements qui s'opèrent dans le monde. La réflexion reste hexagonale et peine à intégrer les nouvelles donnes géostratégiques. Les consciences se mesurent encore à l’aune des souvenirs coloniaux et des trente glorieuses. Nous refusons en quelque sorte de quitter les siècles de lumière où la voix de la France était considérée comme universelle. Avec l'avènement de l'aviation, de la télévision, du smartphone, d’internet (skype, par exemple), notre planète s'est considérablement rétrécie. Le lointain se transforme en proximité. Le savoir est à disposition du plus grand nombre. Tout change, tout évolue sauf pour celui qui omet de quitter la nostalgie d'un rêve périmé et choisi de vivre sur un capital de regrets, n’imaginant demain que comme la prolongation d’hier. C'est l'enseignement qui permettra à la France de retrouver ses dorures. Expliquer, apprendre et enseigner le temps présent et ses implications dans nos existences.

Expliquer le pourquoi de l'Europe et la nécessité d'évoluer dans le changement en acceptant diverses contraintes. Notre magnifique pays se doit de reprendre le combat et de mettre ses nombreux atouts en évidence pour continuer à construire son histoire.

Nous sommes au vingt et unième siècle et si les exploits de Vercingétorix font partie de notre patrimoine historique il est important de ne pas trop nous abandonner au passé si glorieux fût-il. Il est impérieux d'être présents et actifs dans la bataille pour ce nouveau monde que nous appelons de nos vœux. Il se déroule sous nos yeux et s'intégrera bientôt comme une nouvelle page dans le livre de l'histoire de France.

Mais pour construire ce futur, il nous faudrait des politiciens capables de mettre un terme à leur esprit d'adolescent attardé. L’énormité de la tâche exige la présence d'adultes rompus aux arcanes (stratégiques) de la politique sachant s'effacer devant le but à atteindre. Pour partir du bon pied il faut faire le ménage et dépoussiérer les placets de cuir craquelé accueillant les fessiers mafieux de certains serviteurs de la république et en appeler à de nouveaux talents à l'esprit éveillé, honnêtes et capables d'imagination.


Ronald Haakman

PERSPECTIVES

Quelles priorités pour l'Europe ? Sa construction à n'en pas douter !

Pourtant faute d'en connaître les règles, la population  ignore souvent son fonctionnement. D’autre part  l’importance et les raisons que nous avons d’en faire partie échappent au plus grand nombre. L'Information circule mal ou est inexistante. Cela n’est pas surprenant puisque nos caciques tiennent à garder  haute main sur leur vision de l'Europe. Il s'agit de continuer à manipuler les populations en fonction des enjeux électoraux, de susciter des  craintes par ci ou des enthousiasmes par-là. Les  politiciens doivent se (re)mettre au travail en resituant la construction de l'Europe au centre de leurs préoccupations! Notre continent, que cela plaise ou non, représente l'alpha et l'oméga de notre avenir face aux bulldozers asiatiques et américains. 


Utopie?  Nous pouvions le considérer il y a une soixantaine années. Aujourd'hui nous avons le couteau sur la gorge et la construction européenne est devenue une obligation incontournable. Hormis quelques esprits chagrins n’ayant de l’histoire qu’une conception marginale et pour lesquels la notion de « prospective » est dénuée de sens, la plupart d’entre nous  est convaincue que l’Europe est notre seule issue.

Gardons à l’esprit que ce sont les pionniers qui ont dessinés le monde. Ce sont eux qui ont osés les risques. Ce sont eux qui ont ouverts les portes sur la plupart des découvertes et avancées de notre planète. C’est la somme de ces équations qui met la puissance entre les mains de ceux qui l'assument. Que voulons-nous ? Quels sacrifices, pour quels résultats ? Avant de vouloir donner corps à nos ambitions, nous devons avoir le courage de nous interroger sur nos aspirations. Évitons de nous faire souffler des suggestions par des politiciens nombrilistes. Redécouvrons le bon sens de nos aïeux et mettons-nous en route. L’avenir n’est pas un cadeau qui tombe du ciel, il n'est que la résultante  d'actions comportant peines et sacrifices. Une nouvelle ère est en train de naître sous nos yeux et comme tout accouchement, il ne se fait pas sans craintes, ni douleurs.

Le monde est en effervescence ! De nouvelles alliances  se mettent en place et  des pays sortent de leur coma. Le vieux lion britannique se reprend à rugir, l’Amérique s’ébroue, le Dragon Asiatique remet son savoir à jour. Le courage renaît un peu partout. Il n'y a que les « culs bordés de soie », paralysés par le manque d’audace et ne comptant que sur les autres qui s'étiolent et finiront par disparaître. Personne ne nie que la transformation politique et géostratégique soit d’une grande complexité ! Les changements en cours exigent de plus en plus de concertation. Car, à moins d’être devin, peu nombreux sont ceux qui pourraient parier en connaissance de cause sur notre avenir. 


Une chose est certaine, nous sommes obligés de nous unir pour pouvoir donner une réponse cohérente aux forces qui  s’accumulent devant nous. La réussite ou l’échec de la mondialisation dépendront de la maturité politique des hommes que les nations délégueront pour s’atteler à l’élaboration d’un tel projet.

Quant à la construction européenne, nous avons à notre disposition l’avis d’un des derniers grands visionnaires du vingtième siècle, le Général de Gaulle.  Il nous a proposé une nouvelle carte de l’Europe allant de l’Atlantique à l’Oural !* Que la Russie fasse partie intégrante de l’Europe ne fait aucun doute. Notre histoire commune, datant de plus de mille ans en témoigne. Non seulement nous sommes issus de la même philosophie religieuse, mais nos cultures n'ont cessé de s'enrichir mutuellement depuis le onzième siècle. L'Europe et la Russie partagent des fondamentaux et certaines pages d'histoire ont été écrites à quatre mains.
(Nous savons que les visionnaires n’ont pas la cote. On déteste habituellement ceux qui ont raison avant tout le monde.)

Dans les discours du Général il n’a jamais été question de la Turquie, pays musulman aux habitudes diamétralement opposées aux nôtres, où la laïcité, par exemple, est souvent remise en cause. D'ailleurs la Turquie n'est-elle pas plutôt tournée vers l'Asie centrale, aux influences Ottomanes, malgré la révolution Kémaliste.

L’Europe et la perspective d’un élargissement vers la Russie aurait également l'avantage de limiter notre dépendance énergétique au Moyen-Orient. L’Instabilité chaotique de cette partie du monde n’est qu’une source de problèmes. La somme des ethnies et religions diverses se combattant pour  le pouvoir suprême ne fait que croître.  La solution pour mettre fin à ce désordre se trouve entre les seules mains des belligérants de cette contrée.  C'est à eux et à eux seuls de mettre fin à leurs différends. Construire l'Europe, une Europe fédérale, c'est nous mettre à égalité avec les pouvoirs qui s'organisent autour de nous. Une œuvre commune qui donnerait sens au drapeau de l’union. Cela existe ailleurs ! 


Un petit pays, dont l’ego a depuis longtemps cédé la place au pragmatisme en témoigne tous les jours et nous montre un cheminement possible. En l'occurrence il s'agit de la Suisse!

GENEROSITE


Inégalités dans le monde ...
Que nous pouvons être ridicules, grotesques et vaniteux ! Faire la guerre pour conclure la paix et pleurer des larmes de crocodiles sur les misères dans le monde. Nous créons des institutions pour lutter contre la faim et récoltons des dons – dont, au passage, nous savons pertinemment que le plus souvent, ils ne parviennent pas à leurs destinataires- le tout sous une forêt de micros et de caméras à seule fin d’étaler notre générosité... 

L’occident aura dépouillé les populations d’une grande partie de leurs biens sur cette planète, ruinant l'existence de milliards d'hommes, de femmes et d’enfants. Souvent au nom de religions ou d’idéologies ethnocentristes, nous n’avons su que piller, martyriser et tuer.


Nous avons déboisé à tout va et sans vergogne la forêt  nourricière d'une multitude de peuples, expropriant à bras raccourcis pour nous approprier des sols et sous-sols riches en minerais de toute sorte. Aujourd’hui nous organisons un service après-vente pour, en réalité, maintenir ces pays spoliés dans le giron de l’occident, en se donnant l’illusion de se racheter une (bonne) conscience. La voracité de l'occident en matière d'enrichissement et de recherche de pouvoir, s'est élaborée et se perpétue sur le dos des autochtones éparpillés sur les cinq continents de notre planète. Ces derniers sont contraints de mendier les quelques miettes indispensables à leur survie, à ceux qui les ont chassés de leurs terres. Beaucoup de peuples vivant en autarcie dans leurs environnements respectifs, que nous considérions primitifs, se révèlent l'être beaucoup moins que nous le pensions. Ils vivent en étroite harmonie avec la nature, la respectant en ne prélevant que le stricte nécessaire à leur consommation du moment et laissent le temps à la nature de se régénérer. Ils représentent dans beaucoup de domaines l’équilibre du présent.

Par contre nous, les bâtisseurs de cathédrales, hissant notre arrogance à la hauteur des flèches de clochers d’églises, nous avons mis, par notre suffisance et par notre vanité, la planète en coupe réglée.

Inégalités en Afrique du sud
Nous empruntions la parole des dieux pour exterminer sans états d’âme tous ceux qui ne voulaient pas suivre la ligne évangélique imposée par les  (potentiellement) pédérastes  ecclésiastiques du cru. Nous nous comportions comme des intégristes de la pire espèce, à l’image de ceux pratiquant le djihad Islamique d’aujourd’hui.

Notre soif de conquête et notre besoin de dominer, de s’approprier et de  posséder les biens d’autrui, nous ont amené à soumettre, à détruire, à voler et par conséquent à mettre à mal des continents entiers. Sans complexes nous aimerions pouvoir continuer à afficher notre suffisance, nos certitudes et notre supériorité loin à la ronde, mais voilà…la situation n’est plus la même. Le monde change !


Le descendant des martyrs d’autrefois relève la tête et présente aujourd’hui une addition contraignante. Nos anciens colonisés, peut-être en réponse inconsciente aux exactions du passé, nous colonisent à leur tour. Il y a là un inévitable mais pourtant prévisible retour de bâton. Et cela nous fait réagir d’une manière disproportionnée, confrontés que nous sommes à nos démons de haine et de rejet. Lorsque nos pères ou grand-pères envahissaient un territoire, ils ne se posaient pas de questions. Si la tribu, le peuple à soumettre s’opposait aux méthodes employées, ils étaient tués ou, au mieux, emprisonnés. Notre vanité, notre certitude d’être au-dessus des autres nous poussent à la condescendance, et nous incitent à croire que les autres sont à notre service. Nous avons passés par l'épée, durant des siècles, les hommes, les femmes et les enfants  que nous découvrions au hasard des expéditions organisées par les Rois, les Princes ou de riches marchands de biens.  Qui plus est, nous les avons également soumis par l'esprit en permettant à l’église de les  évangéliser à tout va. Une autre manière de les dépouiller de leurs richesses.

La conquête par les croisades ...
Nous avons massacrés au nom de Dieu et nous nous étonnons  que certaines  populations nous demandent des comptes à travers leur descendance. Depuis nous n’avons eu cesse d’entretenir massacres, tortures et viols pour le plaisir de quelque gouvernement corrompu ou dictateur d’opérette. Une multiplication d’holocaustes auxquels l’occident a volontairement tourné le dos et qui sont tous restés impunis. Et ce n’est pas fini…

En mille neuf cent quarante-cinq, larme à l’œil, nous disions : « Plus jamais cela » or nous continuons de plus belle à massacrer en rond pour des motifs imbéciles liés à nos égoïsmes, à nos désirs de puissance, par convoitise ou par esprit de lucre.


Mille sept cents quatre-vingt-neuf, c’est l’année où un peuple a décidé de prendre son destin en main. Cet événement n’est pas si loin de nous et l'aveuglement des petits potentats, cette poignée de caciques qui détiennent le 60% des richesses de notre planète, seraient bien inspirés de s’en souvenir et de rester sur leurs gardes. Le jour où les laissés pour compte, dos au mur, n'auront plus rien à perdre et se mettront en mouvement, ces indécents seront les premiers à mordre la poussière. Le politiquement correct ne sera alors plus à l’ordre du jour.



NB.
Et maintenant ? Le moment serait-il venu de nous libérer de nos entraves ?

Le moment serait-il venu de mettre nos exigences du « toujours plus » sous le boisseau ? Serions-nous capables de donner une chance au genre humain, de distribuer plus équitablement les biens offerts par notre planète. Sommes nous enfin prêts à instaurer une morale universelle ou, pour le moins, y tendre ? Il est difficile de ne pas succomber au pessimisme en constatant que l'homme d’aujourd’hui ne dispose plus du recul nécessaire pour appréhender la réalité du fonctionnement de la société dans laquelle il vit. La situation générale et par conséquent la sienne, faute de perspectives, ne suggèrent que voies sans issues. Cette situation non maîtrisée et affolante démoralise le plus grand nombre et pousse l'individu à la déresponsabilisation. L'épée de Damoclès que la société mutante brandit au dessus de nos têtes n’engendre qu'angoisses, craintes et découragements.

Il est de plus en plus difficile de se faire une opinion, tant l’évolution de notre société est rapide et incohérente. Rapide aussi la détérioration de l’éthique politique. La corruption règne en maître a tous les échelons, renforçant le pouvoir de ceux qui l'ont au détriment des classes moyennes et des classes ouvrières. La perspective des lendemains qui chantent se met au soleil couchant et finira par disparaître complètement.

2014, LA COLERE GRONDE !

A peine franchi le seuil de cette nouvelle année que les fâcheries se pointent à l'horizon. Entre le discours du président de la république et le pataquès des révolutionnaires de Bruxelles abonnés aux actions désastreuses, l'avenir ne s'annonce pas sous les auspices du bonheur pour tous. Faire entrer la Lettonie dans la zone euro est une nouvelle porte ouverte sur de futures complications et un excellent moyen de faire plaisir à Washington au détriment d'une consolidation européenne. Pour pouvoir étendre son hégémonie sur notre continent, l’Amérique ne veut pas d'une Europe forte.Triste occident. Riche de tout mais incapable d'exploiter ses atouts par manque d'imagination et par craintes des conflits. Le discours du président, bien tourné et agréable à entendre n'est qu'une prise de position qui se régurgite depuis trente ans. 



Un discours se voulant courageux, hélas suivis de près par une atonie cérébrale rendant toute réflexion hasardeuse. Nous avons l'habitude de ne plus y croire. Le pays s'étrangle, s'étouffe et s'étiole parce que soumis au diktat des incurables assoiffés de pouvoir. Les hommes de savoir, à l'intuition globale tant sur le plan économique que politique et capables d'informer qui de droit sur les erreurs à ne pas commettre, n'ont hélas pas l'oreille des responsables gouvernementaux. Prétendre le peuple souverain n'est qu'une litanie à bercer les espoirs du citoyen et   obtenir un blanc-seing de la population pour faire n'importe quoi. La plupart du temps il s'agit d'un marketing politique pour faire voter le quidam dans le sens des exigences politiciennes. Achats de votes, promesses de rentes, bourrage d'urnes ou cadeaux multiples font souvent les gros titres des quotidiens.


La France, la France de l'Europe, la France historique au rayonnement mondial, la France conquérante, la France de la culture, de la révolution et de la connaissance, la France de la démocratie et de la liberté d'expression – cette France-là est en train de mourir à petit feu par manque d'ambition.

Les visionnaires ont cédés leurs places aux figurants. 

La magie est morte, le rideau de scène retombe sur une médiocratie prévisible. 

A défaut de visionnaires il nous reste les besogneux de la cause perdue.


Grand chambardement en vue ! 

Les pieds nickelés de Bruxelles aux siestes rémunérées peaufinent de nouvelles mises à jour…tordus comme fort probable. Cela concernera surtout l’arrivée du vingt-huitième état dans la zone euro. La grande disparité politique, économique et sociale du dernier venu par rapport aux autres pays de l'union, ne manquera pas de susciter des  problèmes à terme. Les exemples abondent et les contribuables en paient quotidiennement la note. 


Entre deux siestes et trois bâillements, les adeptes au farniente et contempteurs de Manneken-Pis, prennent  de plus en plus de décisions sans aucune consultation populaire. Quant aux ministres, des taiseux par nature lorsqu’il s’agit de questions importantes, ils font de leur mieux pour garder le peuple dans l’ignorance. Le peuple pourrait ne pas apprécier certaines prises de positions ? L’Europe dispersée...tirant à hue et à dia, un chemin pavé d’or pour combler l’appétit des instances financières et industrielles du reste du monde. C’est à se demander si les « Poker Boys » de Bruxelles ne trouvent pas un quelconque intérêt…à simplifier le travail des « cowboys d’outre atlantique » pour venir nous tondre la laine sur le dos. Il s’agit là, bien entendu, de la plus grande zone de libre-échange entre l’Europe et les Etats–Unis, dont nous avons tout à craindre.

Notre continent politiquement émietté se trouvera dans l’impossibilité de se mesurer à la première puissance mondiale. Il faut bien admettre que ceux qui prônent l’amitié entre les peuples lorsque des intérêts gigantesques entrent en jeux sont, pour le moins, de dangereux illusionnistes.


La France de la démocratie et de la liberté d’expression a du bleu à l’âme. La parole se confisque de plus en plus et l’autocensure se développe tous azimut. 

Particulièrement sensible tout humour ciblant Israël ou le juif en général. Ces chers sémites ont tendance à prendre les critiques au premier degré, s’en offusquent et traitent toute réprobation sans autre forme de procès, d’antisémitisme primaire. Pourtant leur façon de traiter les palestiniens considérés comme des sous hommes dont ils s’évertuent à dépecer les territoires, vaut son pesant d’amertume. Ils trouvent moyens de se mettre toujours plus de citoyens à dos. 


Nous sommes certains que si le Likoud, berceau d’un sionisme vindicatif, ne met pas un terme à son double jeu, celui de promettre la paix en organisant le conflit, l’histoire pourrait écrire une suite à la Shoah.

Il y a l’humoriste Dieudonné, dont l’existence nous a été révélée par les médias et les interventions des plus hautes sphères gouvernementales. Les bien-pensants de tout acabit, travelos de la morale, journalistes irréfléchis, les tartuffes de métier et politiciens décervelés, tous à hurler avec les loups pour effacer leur propre insignifiance.

Dieudonné se moque des juifs comme il se moque des arabes, des noirs, des gouvernements et de lui-même. Drôle, caustique et excellent comédien. Ce n’est pas du politiquement correct et tant mieux ! Le gouvernement en intervenant de manière infantile s’est complètement déconsidéré au même titre que la presse…à quelques exceptions près. 
Cette mise à mort tentée a lamentablement échouée pour ce qui est du politique mais est une réussite totale pour l’humoriste qui n’en demandait pas tant…


Les politiciens ou ce qu’il en reste, devraient faire attention à ce qu’ils disent et tenir compte de l’impact que les mots peuvent avoir sur la société civile. Ils ont également le devoir d’harmoniser leur comportement envers les exigences de leur charge. L’homme sait être fier de son pays quand il peut  respecter son chef. Souvenons-nous de la fameuse phrase : « Moi Président…je serai irréprochable ». Ne pas correspondre à l’image qu’il a voulu donner de lui joue aujourd’hui contre sa présidence.

LE COCKTAIL MOLOTOV À USAGE PUBLIC

Le laisser aller et laisser faire de nos responsables gouvernementaux est une porte ouverte au communautarisme. Par ignorance beaucoup, par manque de réflexion souvent, par utopisme mal digéré la plupart du temps, nos concitoyens oublient qu'un territoire n'est pas extensible à l'infini. Accepter contre toute logique une transhumance arabe incontrôlée et parfois incontrôlable ouvre un boulevard au retour des pogroms de sinistre mémoire. Cette insulte suprême faite à l'humanité donna naissance au nazisme, à la déportation et aux chambres à gaz. 

Le fameux leitmotiv: «Plus jamais cela » ne fut qu'une formule facile dans le but de dégager sa responsabilité. Ce ne furent que des mots à tout faire pour donner une  consistance plus morale aux distributions de petits fours et aux flûtes de Champagne offerts lors des commémorations officielles.



Les cohortes de salafistes, barbares sanguinaires sortis tout droit du moyen âge, ignorants pour beaucoup d’entre eux, prennent prétexte du coran pour assouvir leur soif de pouvoir. Ils tuent, martyrisent, pillent et brûlent ce qu'ils sont incapables d'obtenir par le droit. Ce ne sont que des assassins mentalement déficients.



Il est toutefois navrant de constater que la responsabilité de cet état de fait incombe en grande partie à l'occident. Pourquoi se voiler la face ?  Il n'est pas déraisonnable de prétendre que l'occident, des siècles durant, a pillé sans vergogne les richesses du monde, façonnant les territoires conquis par la force, à son image. Nous avons escroqué des peuples, échangeant quelque verroterie sans valeur contre  l'or sacré  de tribus avant de les soumettre à notre volonté. Notre arrogance à vouloir inculquer notre conception du monde comme étant la seule valable, n'a pas de commune mesure. Interdire de prier d'autres dieux que le nôtre en soumettant les déviants à la question et s'étonner en fin de compte de ne pas êtres aimés par ce que nous nommant pudiquement, le tiers monde, n'est pas banal.


Que deviennent les indiens d’Amérique, les tribus d’Amazonie qui n'ont que la forêt et le fleuve amazone pour subsister? Les intérêts de quelques grands groupes industriels pillent leurs territoires au nom de la finance, à la recherche de pétrole, de gaz et d'or, déboisant les forêts, polluant le fleuve, rendant ainsi la pêche impropre à la consommation.


Aujourd'hui nous vivons un retour de manivelle.  Le « Tiers monde »  s’invite à notre table et présente sa facture. Depuis peu nous apprenons à nous défendre contre l'invasion des adeptes de l'illusoire désir de partager notre bien-être acheté à crédit. Nous nous endettons de plus en plus pour vivre sereinement la fin d'une époque, aidés en cela par des gouvernants avançant avec la canne blanche du non voyant.

Le laisser faire, le laisser aller, en refusant d’appliquer les lois par pur calcul électoraliste équivaut à mettre en danger l'existence de nos concitoyens. Nos dirigeants portent une lourde responsabilité quant à la dégradation du climat provoquée par leur indolence.  
Sauvegarder leurs prérogatives afin de se maintenir au pouvoir,  risquant ainsi de créer des désordres publiques n'est pas une attitude responsable.  Ne soyons pas étonnés de constater l'aversion toujours plus importante du contribuable envers le personnel politique.  


Les couards qui nous gouvernent sont, depuis belle lurette, dépourvus de tous sens éthique et moral. Leur courage politique n'est plus à l'ordre du jour.  

Les fonctionnaires européens œuvrant dans la capitale belge, font de Bruxelles leur terrain de jeu de prédilection. Pieds bots de l'information, techniciens avertis à l'éthique de clan solidement ancrés dans leurs bulles et bien loin des préoccupations de ceux qui les nourrissent à coups de milliards. Ils s'illustrent au quotidien par une farouche volonté de préserver leurs rentes. Habiles coupeurs de cheveux en quatre, à l'aise dans l'inutile, ils témoignent d'un enthousiasme délirant envers les lobbys de toutes sortes...un pourboire est toujours bon à prendre ! 

A aucun moment ces forts en thème, spécialistes du calibrage de melon ne se sentent concernés par la grandeur de l'Europe. Atteints par le syndrome du vol stationnaire, dont souffrent également les exécutants des basses œuvres des divers pays de l'union, ils refusent d'entamer le processus forçant l'Europe à se mettre en adéquation avec ses atouts et ses besoins. Ils souffrent indubitablement d'un défaut de vision à long terme et de manque d'ambitions altruistes. Bruxelles est une faillite exposée sur des montagnes de beurre et de viande. Qui plus est, les vénérables de la capitale font si forts qu'ils  génèrent les conditions idéales pour l’avènement d’un raz de marée de l'extrême droite à travers le continent. Ces lobotomisés de l’extrême à vision furtive ne faciliteront pas la tâche des claire-voyants. L'Europe n'est pas un souhait, un désir de grandeur ou un trait de crayon sur une carte. Il n'est pas question d'être pour ou contre, d'en avoir envie ou pas. L'Europe est une nécessité absolue, une question de survie. La mondialisation est un fait acquis, sans retour possible. La guerre est déclarée !  Nous en sommes navrés pour les obtus en tous genres.

Trop de chefs et chefaillons mettent leur ego au service du pouvoir, se servant avant de servir. Comment expliquer et faire comprendre que seule l'unité crée la force. Comment faire admettre que bien des fonctionnaires à hautes responsabilités ne sont pas à leur place là où ils opèrent. Comment expliquer et persuader une majorité de citoyens que seule l'unité Européenne pourra assurer son avenir à long terme.

Des doublons coûteux, des travaux inutiles, des organisations caduques, un clientélisme absurde et de la corruption à tous les étages, finissent par démobiliser citoyens et entreprises. Les instances gouvernementales s'acquittent si bien de leurs tâches que la plupart des pays de notre continent se détournent de l'union. Les visionnaires que furent Schumann et Monnet doivent se retourner dans leurs tombes

L’Europe est riche et dispose d'atouts phénoménaux ! Notre richesse, notre savoir, notre expérience et notre histoire détiennent les clés de notre mieux-être. Pour l'instant nous marchons en ordre dispersé faute de disposer de vrais politiques. Seule l'union des états avec un réel pouvoir économique et politique peut, à terme, devenir une force de combat. Le monde s'érige sous nos yeux en quatre zones d'influences à savoir : l'Asie, l'Amérique du nord et du sud, l'Afrique et l'Europe. L'Europe émiettée où chaque protagoniste se la joue perso est à peine audible. L'Afrique en construction se trouve dans la ligne de mire de la Chine, de l'Inde et dans une moindre mesure des autres pays de la zone  pacifique. L'Afrique et l'Australie représentent, par la richesse de leurs sous-sols, de véritables greniers à matières premières convoités par tous. En prenant la hauteur nécessaire pour embrasser d'un rapide coup d’œil l'ensemble de nos continents, nous remarquons à quel point notre monde se transforme, se reconstruit et se regroupe en fonction de ses affinités géostratégiques et politiques. Il ne s'agit pas de jeux mais de survie. 


L'Intérêt des États Unis ne se trouve plus en Europe ou au moyen orient. Le centre des opérations se déplace et se développe à grande vitesse en direction de l'Extrême Orient. 

L’avènement de l’indépendance prochaine de l'Amérique envers son énergie ne fait qu'accélérer le mouvement. Qui plus est, dans une décennie ou deux, notre parapluie protecteur, « l'Otan » perdra sa raison d’être et notre continent aux voix discordantes  perdra ses  quelques  pouvoirs de défense. Ils seront vingt-sept ou vingt-huit seuls face au terrorisme et au poids toujours grandissant, du commerce, de la finance et de l’industrie mondialisés. 

Le seul continent qui fut à notre portée, l'Afrique est prit d'assaut par la Chine et nous échappe. Elle rafle ainsi la mise aux léthargiques que nous sommes. L'Empire du milieu, cette très vieille civilisation sera bientôt la première puissance mondiale ! Alain Peyrefitte dans son livre paru en mille neuf-cents quatre-vingt « Quand la chine s'éveillera...le monde tremblera » nous l'annonça avant l'heure. Les obtus, les égocentristes et les aveugles par vocation, se perdent et se noient dans des querelles de cloché, entraînant les habitants de nos pays vers une déchéance inéluctable. Les nostalgiques des colonies, du Maghreb en général, du pastis et des palmiers en particulier, feraient bien de réviser leurs rêves de hamacs à l'ombre des citronniers en fleurs. L'Europe se déconstruit et s’affaiblit à toute allure. Elle se perd dans l'histoire de son passé, dans des rêves de grandeur et se noie dans des montagnes de confusions plus dogmatiques les unes par rapport aux autres.


Pendant ce temps, une importante partie de responsables politiques de notre planète montent aux barricades, entament leurs mues et préparent la prochaine guerre économique et industrielle. Il s'agit bien d'une guerre, d'une place à prendre et à défendre.

LA CHASSE AUX FAUX CULS

 
A considérer la culture des armes, l’attrait immodéré pour la finance et l’engouement voué au pouvoir, l’histoire nous incite à chercher un quelconque lien correspondant à une période similaire dans le passé de l’humanité. La présente situation de l’homme dans son environnement international est unique. De son état primitif à celui de sauvage, de marchand d’esclave au chef de guerre et de criminel à bourreau, sous des prétextes fallacieux, l’homme, pour se dédouaner de toute responsabilité réussit à détruire les civilisations qu’il a fait naitre.


 
Le 21nième siècle lui offre l’occasion de mettre fin à toute vie sur la planète. Une façon comme une autre d’avoir le dernier mot.


Cette fin de cycle, résultat de notre aveuglement et de notre déraison mettra, espérons-le, un terme à la famine organisée par nos insuffisances. Cette fin de cycle mettra, peut-être, la misère des populations, aujourd’hui géré à rebours du bon sens pour des raisons idéologiques, à l’ordre du jour. 

Tout est organisé autour du noyau dur de la finance internationale… avec le consentement tacite du petit personnel politique qui y retrouve ses billes. Pour convenances, supposées étatiques ou géostratégiques, nos institutions finissent par éclabousser les démocraties, ou supposées telles, dans la plus grande indifférence.  




Nous sommes en échec durable ! Les fonctionnaires politiques, ou devrait-on dire, les politiques se la jouant à la manière du fonctionnaire ayant comme seule ambition dans la durée, de s’asseoir sur le coussin de la retraite en pantouflant entre havane et cognac, serrant les fesses pour ne pas commettre d’impairs trop visibles.

Un chemin peuplé de combines, ou le sort de la population dépend du degré de pollution intellectuel de tel ou tel député ou ministre en charge. De discours en fausses promesses, c’est le bal des faux-culs en habits du dimanche. Ils vivent pour se faire élire ou réélire en organisant des votations coûtant la peau des fesses. 

Pour ces amateurs de mini pouvoirs, l’importance c’est de rester en place, de durer et d’engranger avec, en guise de récompense consenti par les princes du pouvoir financier, de faire main basse sur le fruit du labeur populaire. Les quelques responsables qui sortiraient du lot sont incapables d’agir faute de soutien.


Nous savons que le monde est gouverné par une poignée d’individus aux pouvoirs exorbitants. Les clés de leurs succès reposent principalement, sur la dolence des chefaillons gouvernementaux, tenus en laisse par la promesse de lendemains qui chantent et la docilité des populations à bout d’espoirs. Il faut du carburant pour faire fonctionner la machine et quel meilleur carburant que l’énergie d’un peuple. Un système financier n’est pas un idéal en soi mais devrait permettre, au moins, de créer les structures nécessaires pour favoriser l’avènement d’une véritable démocratie.
Depuis l’ancrage de la finance dans une mondialisation sans régulations, avec ses excès spéculatifs pervers, la porte aux explosions populaires s’ouvre toute grande. 


Si la présente situation devait perdurer ce ne serait qu’une question de temps, de quelques années tout au plus, avant le début de soulèvements de masses. Les siècles écoulés ne servent plus de repères. Aujourd’hui, un pouvoir régional, national ou continental, ne peut plus se contenter de gouverner par la corruption.  Une population, quelle  qu’elle soit, a le droit de pouvoir réclamer et obtenir la  justice, l’équité et le respect. La couardise de nos dirigeants ne pourra engendrer que mépris et colères, rendant le ou les pays totalement ingouvernables. 


Toujours par convenance géostratégique nous fomentons des guerres de religions  ou alimentons celles qui naissent spontanément avec comme résultat de réinventer, des siècles plus tard, l’inquisition de sinistre mémoire. 

Toujours pour le bien de celui que nous combattons, mais en réalité il s’agit d’un prétexte à assujettir des populations pour mieux les piller.

La sophistication de ces guerres, déclarées au nom d’une hypothétique démocratie à instaurer n’ont, semble-t-il, peu d’équivalence dans notre histoire. Il est vrai que certaines conquêtes du passé, si brutales qu’elles furent, n’ont pas toutes été le fait d’exterminateurs, de fous ou d’imbéciles en mal de gloire. 


Grecques, Romains, Mongols et Arabes ont aussi essaimés du savoir sur leur chemin. Entre l’écriture, la connaissance et les œuvres d’art, les populations vaincues ont souvent bénéficiés d’une précieuse semence qui leur permit d’y trouver, à travers les siècles, une certaine matière à épanouissement.



NB. Déjà de violents soulèvements éclatent aux quatre coins de notre planète. Ce ne sont là que les prémices d’une situation en développement et le résultat d’une oppression, sans commune mesure, de quatre-vingt-dix pourcents de l’humanité au profit des dix pourcents restant. Quand il n’y a plus d’espoir, quand il n’y a plus de rêve, mais que la peur pour faire face au quotidien, il ne faut pas s’étonner que les peuples se retournent contre les initiateurs de cette société, qui ont fait leur beurre en vendant du bonheur virtuel.

RIEN QUE DU VIRTUEL

Quel désenchantement que de constater jusqu’où l’humanité se complait-elle dans une sorte de  désespoir collectif, à presque revendiquer de ne vivre qu’au travers du prisme de virtuelles réalités.
Tant sur le plan politique que celui des émotions au quotidien, l’espoir rejoint la malle aux souvenirs. L’action cède la place à une virtuosité langagière mais la cacophonie générale souligne l’inanité des propos.

Le réel l’abandonne à l’illusoire et chaque jour n’est plus que scène de bastringue. Le rêve du devenir se libère dans le bruit des verres de champagne s’entrechoquant pour fêter un instant d’égarement et exorciser l’ennui, dans le triste dessein de donner odeurs et couleurs à nos lendemains.

 
Dans l’incapacité et la crainte de subir le poids de l’avenir, l’imagination et les visions rétrécissent, se convulsent et disparaissent. La lumière du futur semble absorbée par la désespérante ignorance et par la paresse intellectuelle de nos édiles. On ne pense plus, on digère avec nostalgie les souvenirs d’un passé révolu. Ressusciter ce qui fut, en guise de précepte d’avenir, n’est qu’offrande biaisée.

Une politique désordonnée, des politiciens dévalués par des égos d’une affligeante stérilité. Leur éthique mise en sommeil… tout finit par se complaire dans un climat de corruption banalisée. Une duperie qui s’infiltre dans les mœurs.  


Les « Al Capone » de la finance, spécialisés dans le dépouillement de la classe moyenne, font danser la polka à nos dirigeants, inaptes à gouverner et par trop inféodés au capitalisme le plus débridé. Ces mafieux du profit à court terme,  s’approprient le pouvoir perdu des gouvernants et transforment ministres et fonctionnaires d’état en marionnettes dont ils se jouent. La société est entrée de plain pied dans la décadence et annonce l’émergence d’un cycle nouveau. Le sort de notre oligarchie occidentale s’assimile, au mieux, à des dommages collatéraux, prétendent les financiers affameurs . Les responsables gouvernementaux, plus « mollusques parasitaires » qu’éclairés se mettent à l’abri de la vindicte populaire en s’enfermant dans leurs tours d’ivoire pour y protéger le produit de leurs vols. En d’autres temps, ces affameurs éhontés auraient mérité la corde !

 
A quand la révolution ? A quand la fin de l’autoflagellation d’une certaine partie de l’humanité  incapable de se dresser contre les prébendes des nantis ? Se soumettre à l’injustice ne fait que renforcer les pouvoirs en place. 

Le moment des règlements de compte où les gueux donneront corps à leurs colères approche. C’est, à n’en pas douter, le manque d’équité qui mettra le feu à la maison.

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RACISME COUTUMIER

Le racisme ordinaire est une notion à laquelle beaucoup prétendent échapper. L'homme est persuadé d’aimer, d’admettre et de comprend...